Le futur avertissement du Grand Figeac programmé ce mardi à Leyme prévoit pas moins de 34 points à l’succession du croisée. Un emploi du temps abondamment éperdument chargé pile le peloton d’haine Figeac Autrement présidé par Philippe Landrein qui acte humanisme son mission de suspendre cette concile de revenu.
“Faut-il continuer à réunir un conseil communautaire ?” Philippe Landrein, Christine Delestre et Philippe Brouqui, élus d’haine de Figeac Autrement, dénombrement qui vient de présenter ses ambitions pile les municipales de 2026, posent sinon contournement la tourment à la insomnie du avertissement de revenu du Grand Figeac programmé ce mardi 24 septembre à Leyme. Les triade élus figeacois dénoncent le noble chiffre de délibérations qui doivent abstraction abordées en une autonome voire assemblage. “C’est 34 points qui sont prévus d’être étudiés et votés, oui vous avez bien lu 34, déplore Philippe Landrein dans son communiqué daté du 20 septembre. Comment ne pas se poser la question sur la qualité et la quantité de débats. Comment voulez-vous avoir le temps de tout lire et comprendre dans les quelques jours qui précèdent. Il ne faut pas alors s’étonner du score de 100 % des délibérations proposées et acceptées par le conseil communautaire depuis 2020. Lors d’un précédent conseil communautaire, il nous a été reproché, après nous avoir menacés de plainte et de censure, de ne pas respecter l’institution, que doit-on penser du respect des élus et des citoyens quand on prévoit un tel programme pour ce conseil ?”
Philippe Landrein met en individu changées sujets solennels qui méritent un copieux commission. “Si les sujets étaient tous anodins et rapides, cela pourrait se comprendre, mais le plan de financement (et sans doute pas que cela) du futur festival de Théâtre, le bilan sur le Plan local de l’habitat et la situation concernant le transfert de la compétence eau et assainissement, sont déjà à eux trois suffisamment conséquents pour nécessiter une séance. Alors nous savons que d’autres instances se réunissent et abordent déjà ces sujets, comme la conférence des maires qui n’est pas ouverte aux conseillers municipaux, y compris ceux des groupes minoritaires figeacois, mais pas non plus à la presse. Là indéniablement, ce n’est pas notre vision du débat et de la démocratie, et donc pour marquer notre désaccord, nous avons décidé de boycotter le conseil communautaire de mardi prochain”.
Sollicité, le monarque du Grand Figeac, Vincent Labarthe n’a pas souhaité boursicoteur de remarques.
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