Handicap : “En tandem, nous sommes dépendants de quelqu’un”… Catherine Mignard participe à la 22e impression du Tour de l’Aude

l’créant
Du 17 au 20 septembre prochains, ambiance terrain le 22e Tour de l’Aude gouverné par le Comité Départemental Handisport de l’Aude. Catherine Mignard, qui participe depuis treize éditions, revient sur son voyage.

Âgée de 58 ans, Catherine Mignard, malvoyante attendu qu’chiquenaude de rétinopathie mélanique depuis sa agnèlement, participe depuis contradictoires éditions au Tour de l’Aude gouverné par le séminaire départemental Handisport de l’Aude. Elle prendra allant sur son bicyclette accompagnée de son skipper du 17 au 20 septembre prochains. “Quand je commence quelque chose, je vais jusqu’au bout”, raconte la Carcassonnaise bruissement un lucarne sympathique.

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Une éternelle désir de partie

La sportive au esclaffer divin et loyal a intime le Comité du Handisport absolution à son conséquence parmi l’incorporation Entre Vues Audoises (ndlr, incorporation de déficients visuels de l’Aude), parmi quoi lui-même a été guibole du séminaire. Lors de la enfance de la débat en bicyclette, “Pourquoi ne pas essayer ?”, lance-t-elle. “J’ai été l’une des premières participantes avec mon pilote Yves Voisin (ndlr, concepteur et réalisateur des étapes du Tour de l’Aude), que je ne connaissais pas auparavant. Nous avons commencé le tandem ensemble, et, maintenant, cela fait 15 ans. Il connaît mon tempérament, et j’ai besoin de projets et de challenge. Nous avons monté des cols de l’Aude que je ne me suis jamais sentie capable de faire s’il ne m’avait pas poussé. Yves Voisin n’est pas qu’un simple pilote, nous nous sommes liés d’une forte amitié, c’est un ami, mon confident et mon guide”, s’émeut-elle.

“Quand nous sommes en tandem, nous sommes dépendants de quelqu’un. J’en demande peut-être beaucoup aux personnes qui m’accompagnent, mais dans un lieu inconnu je ne vois rien, et j’ai besoin d’être accompagnée”, claire Catherine Mignard. Pour des raisons personnelles, Yves Voisin ne pourra pas attester cette impression. Catherine Mignard sera sur son bicyclette bruissement un bleu skipper.

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En puis du bicyclette, Catherine Mignard est comme impliquée parmi la brasse. “Durant ma jeunesse, j’ai vécu avec ma famille jusqu’à l’âge de mes 25 ans. Je ne pratiquais pas de sport, mais si ça avait été le cas, je me serais lancée dans la compétition, ça c’est certain. J’aime le challenge dans le sport individuel, je le fais pour moi pour porter un meilleur regard sur moi. Je n’ai pas besoin de m’inscrire, Timothée Quesada, chargé de mission pour le Comité de Handisport, m’inscrit d’office lors des nouvelles éditions”, confie-t-elle.

“Le plus compliqué, ce n’est pas le nombre de kilomètres mais le manque de sommeil.”

Cette personne gazeuse expose que “le plus compliqué, ce n’est pas le nombre de kilomètres mais le manque de sommeil”. Au exhaustif, endéans cette 22e impression, ce sont 300 kilomètres qui vont concerner parcourus. “L’idéal, c’est de s’entraîner en amont, car nous avons des horaires à respecter. Des écoles et des enfants nous attendent avec des dessins pour les animations”, se réjouit-elle.

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Cette cycle, 1 000 poupons attendent les participants. “C’est convivial, et pour moi, la sensibilisation est la plus importante. C’est par le biais des enfants que le monde changera sur le handicap, on le banalisera grâce à eux. Encore aujourd’hui, les regards sont présents sur ma canne blanche, et ce n’est pas banalisé. Les enfants n’ont pas la délicatesse d’un adulte, ils disent les choses comme elles le sont et j’apprécie leur innocence”, expose Catherine Mignard.

Durant ces quatre jours, certaines des communes accueillent les cinquante participants et les bénévoles à se dîner le antarctique et le veillée. “Les communes nous accueillent les bras ouverts, c’est très chaleureux”, conclut-elle, agitée de aborder ce Tour de l’Aude.