Le conciliabule de la groupe de communes du plancher de Lannemezan a été mieux débattu que d’tradition. Plusieurs élus ont acte ouïr à elles vote dissonantes.
C’est la observation d’mises produite par l’Etat entre le arrangé du PLUI (Plan Local Urbanisme Intercommunal) qui a acte refuser divergentes élus. Elle a été communiquée par Malik Aït-Aïssa, maître de la DDT (égide départementale des territoires).
Pour l’Etat “les enjeux sont ceux d’avoir un dialogue itératif avec les communes, visant à mettre en valeur le territoire pour renforcer l’attractivité du territoire, préserver les ressources naturelles et foncières, et bâtir un territoire durable et résilient en mettant en avant l’existant” dira le maître en commencement. Trois arbres ont été développés. En précurseur le consolidation de l’attractivité du lieu, au défaut des paysages, du legs et du labyrinthe hydrographique, les aménagements d’tapas d’conglomérat, les voies cyclables, etc. Le additionnel balance a appelé les fonds naturelles et foncières revers la renaissance des fonds en eau, la réveil de l’urbanisation, la régénération des friches, la réconfort des périmètres de captage des ondes, la défi aux standards de la escale d’filtration de Capvern, les infiltrations d’ondes usées, etc. Le témoin balance s’appuya parmi disparates sur la défense des zones humides, la renaturation d’espaces artificialisés, l’apparition de projets énergétiques et d’éco-énergie cénozoïque, le consolidation de la ascétisme du ossature, etc.
Un référence à la Prévert qui suscita rien aspirer les réactions de divergentes élus.
Catherine Corrège, proconsul d’Escala, tira la originelle bord : “Depuis toujours, les élus ont su faire et savent faire et feront encore !”. Elle a pardonné l’principe du “renouvellement de l’OPAH (Opération programmée pour l’amélioration de l’habitat) qui a permis le maintien des personnes âgées à domicile par la réfection des logements, l’action économique à l’accent particulier qui permet aux populations de rester et de s’installer”.
Pour sa fraction, Joëlle Abadie, proconsul de Tilhouse, démiurge “le rôle de l’Etat difficile car vous êtes juge et partie dans l’élaboration du SCOT (Schéma de cohérence territoriale) par exemple. Il y a un manque de confiance important de l’Etat envers les élus. La Loi ZAN (Zéro artificialisation nette) devrait reposer sur la confiance”. Laurent Lages élu du Diocèse et de la république de Lannemezan incorporation l’Etat à “un maximum de souplesse, car beaucoup a déjà été fait dans le temps, sans que l’Etat ne nous dise ce qu’il faut faire. C’est une trajectoire mortifère dénoncée en son temps, comme par exemple sur le zéro artificialisation, qui aurait dû permettre de faire un rééquilibrage avec ceux qui en ont abusé. La réglementation n’est pas adaptée aux cas d’espèces…”. Véronique Mounic, proconsul d’Espielh, relativement à lui, ne manqua pas de voir “l’antagonisme entre zéro artificialisation et “bouche creuses” à bâtir”.