Jeux Paralympiques 2024 : “On a donné le meilleur de nous-même”, confie Jonathan Hivernat, barreur de l’ramassis de France de rugby Afrique

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Jonathan Hivernat, barreur de l’ramassis de France de rugby Afrique et Figeacois de mise bas, a déjà les mirettes rivés sur les JO 2028 à Los Angeles. En attendant, il se vendu sur son apprentissage des Jeux à la française.

Moins de un couple de semaines ultérieurement le neuf coupe de l’ramassis de France de rugby Afrique aux JO 2024, son barreur, le Figeacois Jonathan Hivernat, a déjà les mirettes rivés sur l’famille. “On va bientôt faire un bilan des Jeux, et il y aura également un bilan individualisé avec le staff”, détaille le Lotois. Les joueurs ont déjà en effigie les championnats d’Europe, qui vont se déployer en mai aux Pays-Bas. L’ramassis remet en jeu son traité de copie caîd, uniquement justificatif propre le avoir. Et ultérieurement ? Jonathan pense aux championnats du monde de 2026 en Australie, uniquement moyennant à la future technique verso les Jeux Paralympiques de Los Angeles en 2028.

“Les JO, c’est une compétition à part dans la vie d’un sportif de haut niveau. Il n’y a rien de plus intense”, confie l’champion paralympique. Ce neuf revient sur le scolarité de l’ramassis de France aux JO 2024, lequel il est le barreur : “On y allait avec de grandes prétentions. On a notre double titre de champions d’Europe, on venait de remporter une 4e place à la Coupe du monde. On ne pouvait plus se cacher, notre nation était parmi les grandes. Là, on était à la maison, on pouvait pleinement penser que le résultat allait suivre”. Les Bleus sont arrivés à la cinquième ardeur, au épilogue d’un scolarité lequel ils n’ont pas à colorer.

“Les gens ont vu des athlètes performer avec leurs lésions”

“Il y a une petite déception de notre côté, évidemment. On se dit qu’on n’a pas été à la hauteur. Mais on n’a pas de regret, on a donné le meilleur de nous-mêmes”, souligne Jonathan, entrée de respecter à eux 5e ardeur. Historique verso les Bleus. “On n’a pas à rougir, on va continuer à travailler très dur pour espérer un podium dans une compétition internationale”, bourgeon le barreur.

Pour le Lotois, c’accomplissait la témoin jour qu’il participait aux JO. Mais cette ouvrage 2024 avait une pili-pili spécifique : “comme c’était en France, on évoluait devant nos proches, nos amis et cette grande famille du rugby fauteuil. On a ressenti la ferveur du public qui nous a portés. On a joué devant des milliers de personnes. Un mois avant, il n’y avait plus de places dans les tribunes en ce qui nous concernait. C’est inédit. Ni moi ni les autres n’avons déjà vécu ça. Et c’est sans compter les millions de téléspectateurs”. Pour l’champion, ceci a concédé de démocratiser et d’respecter le handisport. Jonathan Hivernat conclut : “il y a eu une vraie attente des Français de découvrir les Jeux Paralympiques. Les gens ont vu des athlètes performer avec leurs lésions et offrir des moyens d’expression hors normes. Il n’y a que les Jeux Paralympiques pour offrir ça”.