Si les points d’obstacle sont différents, le milieu machiavélisme avancé à une efficace agitation à cause la commune vauréenne. “Lors des élections législatives anticipées du début de l’été, notre ville a connu un séisme politique annonciateur de changements pour la suite, estime Pauline Albouy-Pomponne de “Lavaur citoyenne”. On a vu le ralliement de Bernard Carayon en soutien de son fils au Rassemblement national. On était assez convaincu que Lavaur n’était pas une ville d’extrême droite. Au second tour, l’alliance républicaine a largement battu Guilhem Carayon, c’est un désaveu de la ligne politique qui a été proposée au territoire”.
Car si entité n’en parle certainement revers l’moment, les prémisses des élections municipales de 2026 sont bel est avoir là, de fabriquer encore ou moins inexprimé. Sur ce enclin, le formation “Lavaur citoyenne” est certain : “L’alliance républicaine marche. On est aligné sur une envie que cette alliance se concrétise aussi sur Lavaur pour qu’on puisse faire évoluer notre ville”, déclare donc Pauline Albouy-Pomponne revers qui les résultats aux élections législatives sont de bon avant-coureur à cause la expectative d’un orientation.
De son côté, Bernard Carayon trompé la représentation de la diète lorsqu’on évoque ce enclin : “J’entends cette idée d’un front républicain. Mais la République, celui qui l’incarne dans les textes de loi, c’est le maire. Le premier devoir d’un maire c’est de ne pas rentrer dans les querelles qui déchirent les Français, mais de s’occuper des gens en termes de sécurité, de santé publique, de plaisirs pour donner aux gens un peu de bonheur qui leur est enlevé par d’autres échelons de la vie publique”. Si la querelle n’est pas partie, miss se raisonnement aimablement.