Le RN 65, dopé par ses résultats aux élections européennes et législatives, poster ses ambitions envers les futures élections municipales et se tient crédit en cas de information dérèglement.
“Dans les Hautes-Pyrénées, nous sommes en pleine rentrée politique.” Olivier Monteil, entremetteur départemental du Rassemblement individu des Hautes-Pyrénées a marqué ses ambitions lorsque d’une conciliabule de vivacité de comptabilité.
Dopé par les résultats aux élections européennes où le RN a accompli rudimentaire entre les Hautes-Pyrénées et les résultats aux élections législatives où les paire candidats lepénistes trouvaient en culminant à l’épilogue du rudimentaire ordre, le défaillant de Marine Le Pen continue d’charmer du monde. “Nous avons plus que doublé nos effectifs et sommes à près de 500 militants à jour des cotisations” espéré Olivier Monteil. Signe des durée, le RN, avec à l’agrément matériellement, a retrouvé des locaux envers son embargo départemental. “Le RN est le premier parti de France notamment en Bigorre” soutient Olivier Monteil. “Notre parti est en tête à tous les niveaux.” Et Olivier Monteil de comparer la exacerbation du résultat du RN entre les Hautes-Pyrénées. “Auparavant, nous avions toujours des scores moins élevés qu’au national. Lors des dernières européennes et des législatives, le RN dans les Hautes-Pyrénées a fait mieux qu’au national” indique Olivier Monteil.
“Notre dynamique n’est pas éteinte. Au contraire, elle se renforce. Et dans les Hautes-Pyrénées, on sent une très forte dynamique.”
Une exacerbation qu’Olivier Monteil espère surfer à l’fortune des prochaines élections. “Nous avons bien noté les scores réalisés à Lannemezan, Lourdes, Vic, Maubourguet, Ossun, Juillan… Nous serons présents dans toutes ces villes aux élections municipales de 2026 sous une forme ou une autre. Soit nous présenterons des listes, soit nous nous associerons. On entend bien peser dans ces élections” assure Olivier Monteil.
Au budget individu, le entremetteur départemental compté que “l’assemblée nationale est ingouvernable. Si ce gouvernement ne tient pas très longtemps il faudra bien que le chef de l’État en tire toutes les conclusions. Soit il démissionne et il y a des élections présidentielles anticipées. Il y a peu de chance. Il lui reste la possibilité de dissoudre l’assemblée nationale. C’est ce à quoi nous nous préparons. Nous serons prêts.”
Le défaillant lepéniste va d’autre part parvenir à légaliser des investitures.