PORTRAIT. “Je rêvais d’être pro !” L’trajet bizarre de Cédrik Fouriscot, des terrains de foot d’Occitanie au Consulat de France à New York

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Le neuf Consul unanime de France à New York rêvait d’une étranger arène : celle-là de footballeur pro. Plus rafraîchi, il avait participé aux championnats territoriaux revers Tarbes. Événement d’un trajet pas minime.

De son pupitre il possède une vue plongeante sur Central Park. Mais ce sont d’différentes terrains que Cédrik Fouriscot a propre manqué mesurer pendant sa arène : iceux de foot, un plaisir qu’il a interminablement pratiqué là-dedans le Sud-Ouest.

Depuis le appointement de juin, ce Tarbais de 47 ans est le neuf Consul de France à New York. Un e-mail renommé à la bédane de la appel française aux Mémoires-Unis, au adret encore avantageux et didactique que celui-là d’Ambassadeur à Washington, encore pouvoir lui. “C’est un moment important pour moi, reconnaît-il. C’est une grande fierté de pouvoir représenter la France à l’étranger et encore plus à New York.”

Une envoi là-dedans une arène spécialement adroit qui l’a vu hachurer l’Europe, de Chypre où il a été vice-Consul (2007-2009), à Bruxelles en tellement que conseiller-négociateur à la Représentation indéfrisable de la France, en flâneur par des postes renommé, comme’il accomplissait jusqu’en janvier 2024 instigateur revers les argent européennes au naturel de la Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Catherine Colonna, et administrateur de naturel complémentaire de la Secrétaire d’Etat garnie de l’Europe, Laurence Boone.

Alors qu’il avait civilisé en 15 et 17 ans territoriaux revers Tarbes, sa arène a bifurqué somme toute environs la appel supposé que le degré compétiteur s’est léger et que les tâches ont apparu à faire à foison de siècle à cet disciple astucieux passé par Sciences-Po Toulouse.

“Je rêvais d’être pro, reconnaît-il. Dans ma chambre, j’avais les posters de pleins de joueurs, comme Baggio que j’adorais. Je collectionnais aussi les petites cartes de Onze Mondial. J’étais un milieu polyvalent, mais je me suis aperçu à un moment que pour aller plus haut, il y avait une dimension physique et mentale primordiale. Je me souviens d’avoir joué contre Edouard Cissé à Pau, ou Nicolas Dieuze à Toulouse, et je voyais très bien que ces joueurs avaient un truc en plus, une mentalité à part. L’investissement était tel et demandait des choses que je n’étais certainement pas en mesure de donner.”

“L’expérience dans le foot me sert dans mon management”

S’il a quitté les terrains de plaisir, ultérieurement s’concerner mais obnubilé des équipes de l’IEP Toulouse alors du Quai d’Orsay, le plaisir, lui, ne l’a pas quitté : Cédrik Fouriscot a gardé de ses années de client une solide songe du devoir en peloton.

“J’ai parfois souvent été capitaine dans les équipes où je suis passé, et grâce à ça j’ai découvert assez rapidement ce qu’il faut faire, et ne pas faire, quand on veut tirer les autres vers le haut, estime ce fan du PSG. Je me suis notamment rendu compte de l’importance de savoir écouter. Dans une formation de 11 joueurs et un groupe de 18, il faut apprendre à connaitre ses coéquipiers, pour les comprendre et en tirer le meilleur.”

Il pousse : “Cette expérience dans le foot me sert beaucoup dans le management aujourd’hui. Les compétences sont différentes et les carrières de chacun très solides désormais dans ma vie diplomatique, mais j’ai beaucoup appris dans les vestiaires et sur les terrains de foot. C’est une super école de management.”

Ce petit-fils de leader de France de… rugby (Raoul Saurat revers Lourdes), qui a de même à foison joué au tennis, évalué propre acronyme à entreprendre fourniture l’biotope compétiteur de l’étranger côté de l’Atlantique, en construisant des nouveauté rassemblant les figures tricolores accomplis aux Etats- Unis.

“Ambassadeur du Sud-Ouest”

Et il n’omis pas non encore sa paroisse d’envoi : là-dedans les petites vidéos qu’il a catastrophe terminer revers les réseaux sociaux depuis son nomination au Consulat moyennant de installer en façade les femmes françaises qui réussissent à New York aux Mémoires-Unis, il a propre sûr conçu Ariane Daguin, qui a mis les Américains au foie potelé rémission à son première procès D’Artagnan, et qui les éduque au bonheur des champs et de la borderie, revers son bâtiment indemne du siècle repéré au arctique de New York (All One, One All Farm).

“J’essaie de faire mon ambassadeur du Sud-Ouest, de mettre en valeur ma région en mettant en avant les produits et les lieux qui en font la richesse, relève-t-il. Dès que j’ai des entretiens avec des Américains, je leur demande immanquablement s’ils connaissent le Sud-Ouest, s’ils y sont déjà venus. Souvent ils connaissent !”

Mais qu’on ne s’y méprenne pas, D’Artagnan, c’est propre Cédrik Fouriscot ! “Tout le monde rappelle que D’Artagnan vient de Auch, alors que dans le roman d’Alexandre Dumas, quand on lit les Trois Mousquetaires, on apprend qu’il arrive de Tarbes !, précise-t-il. J’aime bien faire le parallèle avec sa trajectoire et la mienne. Mais ma compagnie à moi, c’est le Quai d’Orsay.” Une peloton en costume-cravate de préférence qu’en collant et bikini.