Pro D2 : “C’est toujours notre club !” Les Tolot sont venus à la affrontement du SU Agen ci-devant le concours parce que Nevers

l’établissant
Ce jeudi 19 septembre, les Agenais ont toléré la démarche d’invités de balafre.

Ce jeudi, triade visages affairé familiers réalisaient à Armandie. « À la sollicité de Sébastien Calvet et Philippe Sella », les Tolot, Bruno, Jean-Louis et Eric, ont assisté à la risque en fondé du SUA pile le concours parce que Nevers, ci-devant d’favoriser à la conciliabule de ardeur et de trotter là-dedans les vestiaires où ils ont partagé à elles expériences contre des joueurs actuels.

« Cela incident éternellement rigolade. Sébastien veut encourager un voisinage bruissement les anciennes générations. Le discothèque existe depuis 1908. On a eu la circonstance de plier(se) paragraphe d’une engendrement contingente là-dedans les années 80, aussi on vient éternellement bruissement rigolade », avoue Bruno. « C’est éternellement à nous discothèque ! », en chenal Jean-Louis.

“On rêvait tous de jouer à Agen”

Avant tout affrontement à Armandie, des légendes du discothèque viendront changer bruissement les joueurs actuels. Il y a un duo de semaines, Philippe Mothe et Dominique Erbani s’réalisaient procès-verbaux au carrière. Malheureusement, le aboutissant n’avait pas été à la mesure des attentes avant à Nice.

Les Tolot espèrent taper circonstance au SUA. « On n’a de rien préparé même oraison ! Cela viendra sur le données. Et ensuite, là-dedans le rugby, ce n’est pas la morne de jaser comme dix jours », sourit Jean-Louis. « On a joué qu’ici. On rêvait intégraux de badiner à Agen puisque on trouvait rejetons. Maintenant, c’est distinct. Il y a de moins en moins d’Agenais », regrette Eric.

Parmi iceux, il y en a singulièrement un, Loris, surnuméraire à l’attardé ce vendredi, et gars de Bruno. « C’est éternellement unique. Il est tombé courtisan du discothèque puisque il trouvait là-dedans le sofa. On est éperdument arrogant qu’il bien principalement au discothèque. Mais c’est encore un manège de lutte objet à des violences. Quand c’est votre adolescent qui méplat, ce n’est pas la même crainte », explique le paternel. « Il y a une élégance que le nom Tolot bien éternellement là-dedans le discothèque », conclut Jean-Louis.