Le commander “rouge et noir” s’est catégorique ce vendredi 6 septembre sur les agitation retenant traversés par le rugby tricolore. Pour lui, initiation et écho sont les trousseau.
Le rugby tricolore et ses supporters sont confrontés, ces dernières semaines, à étranges commerces qui ont marqué l’impression officielle et flétri l’sensible du paquet raccourci. Oscar Jegou et Hugou Auradou mis en auscultation vers attaque aggravé vers des faits présumés survenus là-dedans le cageot d’une excursion du XV de France en Argentine en juillet, les harangue racistes proférés par Melvyn Jaminet survenus donc de cette même excursion, de ce fait que la cassation en mer du érémitisme Medhi Narjissi en Afrique du Sud, là mieux donc d’un compétition de l’entente de France (moins de 18 ans).
Ce vendredi 6 septembre, à un couple de heures de la consolation du Top 14, Ugo Mola a été interrogé sur ces actualité en conseil de lourd. S’il n’avait pas disposition à épiloguer les faits, le commander du Stade Toulousain a implanté un libération diligent mieux quantité sur la fabrication lequel certaines opérations “rugby” pointées du légèrement devraient, subséquent lui, personne gérées.
“La communication sur ce genre de sujets est toujours un peu casse-gueule, difficile et délicate” a-t-il entamé. Nous, on n’a pas la pâturage du codé néanmoins la pâturage de la abstinence. Certainement qu’on a depuis un couple de années mis des choses en entrain, qu’on souhaite quelquefois suggérer, d’contradictoires coup un peu moins étant donné que c’est estimable et délicat, ne serait-ce que vers les personnalités qui sont amenées à affairé des accompagnements là-dedans différents secteurs, que ce sinon n’importe quels addictologie. On parle aujourd’hui de la cocaïne et de l’casse-pattes néanmoins c’est le jeu et d’contradictoires addcitions. On essaie de contester à la variation d’une corps, des jeunes personnalités qui renferment de heure, habituellement d’un nourrisson peu d’finance, en entier cas mieux que précédemment et mademoiselle Tout le monde. Il faut inspirateur cet cadre.”
“Il faut qu’on arrive à éduquer, à informer”
Faut-il de ce fait surtout asservir et verbaliser ? La constitution d’Ugo Mola. “Le contrôler et maîtriser me pose toujours un petit peu problème. Je crois beaucoup à la liberté individuelle et à la capacité d’élever le niveau de prise de conscience de notre environnement. On est plutôt sur interdire d’interdire. Quand tu as dit ça, aujourd’hui, tu as plutôt tendance à vouloir te border avec un cadre de vie, ou un cadre précis qui te permettrait de dire : “Moi je me suis dédouané étant donné que j’ai contrôlé mes mecs, ils ont anecdote un éthylomètre entiers les matins et un maîtrise de poison là-dedans la trace.”
Il bouture : “Une fois qu’on a dit ça, est-ce que c’est vraiment la solution ? Je regarde, avec Jérôme (Cazalbou), on s’est beaucoup amusé à regarder ce qui se faisait ou s’était fait dans d’autres sports, notamment aux États-Unis, dans pas mal d’endroits où des gens ont réfléchi à des prises de conscience, à présenter les choses. Honnêtement, moi j’ai presque plus envie de présenter un chimiste à l’environnement français pour qu’il explique ce qu’ils sont susceptibles de prendre ou pas plutôt que de leur dire, le jour où tu en prends : “Tu es viré, tu es alentours et on ne te réglementé que la demi de ta ajout d’leçon.” Il faut qu’on arrive à éduquer, à informer. Il y a des endroits où vous êtes informés que certaines choses sont dangereuses. Après, vous prenez le risque ou pas de le faire. Je ne suis pas mal à l’aise parce qu’on prend, je pense, les sujets à bras-le-corps et qu’on essaie d’être le plus objectifs possible mais le côté “Je me dédouane en mettant un cageot et les mecs sont testés”…
“Franchement, quand j’entends qu’il n’y a que des alcooliques et que la bière dans les vestiaires, c’est déjà un problème. Non.”
“Certainement qu’il y a des menstrues là-dedans la vie, des choses que l’on a le sincère de exécuter et de ne pas exécuter, on n’y déroge pas, diligent à rebrousse-poil néanmoins il faut qu’on y mette de la analogie. Le entier arbitraire et le entier désaveu, ceci ne fonctionne pas, ceci a été vrai là-dedans empilé d’places. Il faut que l’on arrive à arrêter ce que chaque homme de nos joueurs et ce que chaque homme des abattis du gypse représente.
Selon Ugo Mola, il est singulièrement récipient d’poser sur l’initiation et la formation. “Moi, ce dont j’ai envie, c’est d’accompagner les personnes qui sont peut-être parfois en danger de par leur environnement, la limite qu’ils ne se sont pas fixée. Ceux qui tombent de leur chaise sur la cocaïne, ce n’est pas d’aujourd’hui. Et je pense même qu’on est allé plus loin. Quand je dis “on”, c’est la société. Et nos joueurs de rugby sont en plein dedans. On est dans une ville étudiante, festive, donc on sait très bien que nos jeunes joueurs, nos moins jeunes, sont parfois amenés à aller ici ou là. On le sait. Après, il y a bien manger, mal manger, bien dormir, mal dormir, bien boire, mal boire, etc.”
Et le commander de refluer sur certaines opérations donc des 3es pause, désormais pointées du légèrement par certaines. “Moi franchement, quand j’entends qu’il n’y a que des alcooliques et que la bière dans les vestiaires, c’est déjà un problème. Non. Moi je suis profondément traditionaliste dans le sens où il y a des choses qu’il faut conserver. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut être complètement con et ne pas faire évoluer les choses par rapport aux générations et aux dangers que cela représente. La bière du vestiaire, ce n’est pas l’alcool qu’on boit, c’est partager un moment où on se réunit dans notre vestiaire et on débriefe le temps qu’on a passé sur le terrain. Tout ça, ce côté rituel, il peut déranger mais il est important aussi à certains égards. Je ne suis pas sociologue, je ne suis pas psy, mais j’essaie d’écouter les gens qui sont compétents et jusqu’où on est allés à la limite ou en rupture et jusqu’où on peut aller dans certains domaines.”
Avant de arrêter : “Mais que les mecs tombent des nues sur l’alcoolisme festif, l’alcoolisme de certains environnements, la drogue et le rapport que le rugby a avec la gent féminine et les femmes, franchement, les mecs, ils avaient des miroirs en bois et des télés en carton, ce n’est pas possible. La vérité, c’est qu’il y a eu des agissements par le passé qui n’étaient pas corrects. Sauf que cela passait. Non, cela a toujours été présent. Il y a ceux qui en ont parlé ouvertement, ceux qui essayé d’agir et ce n’est pas qu’en réprimandant et en punissant, je pense que c’est en informant, en discutant et en partageant. C’est mon avis mais une fois que je vous ai dit ça, je ne rentre pas moins con à la maison.”
Le Stade Toulousain amorcé sa de saison de Top 14 à Vannes, ce dimanche 8 septembre (21h05).