Frank Azéma s’est exprès sur le répression de la cocaïne pendant lequel le monde du rugby. Pour lui, il est orgueilleux de employer de la inégalité et d’mener quelque entité.
Ce lundi 16 septembre, Frank Azéma, le gouverner de Perpignan s’est exprès sur les polémiques actuelles pendant lequel le monde du rugby (cocaïne, chartreuse, coups sexuelles…) au micro-ordinateur de France Bleu Roussillon. “Quand tu joues à l’USAP, tu ne te dopes pas, tu ne te drogues pas, c’est non négociable. Tu ne démarres pas le rugby à 6 ans pour te dire que, quand tu seras grand, tu prendras de la cocaïne. Non ! Même de manière festive !” L’doyen turfiste de 53 ans a été vigoureusement audible sur les potentielles dérives qui pourraient frôlement son indiscutableindubitable.
A consumer comme :
VIDEO. Top 14 : terreux, chartreuse, poison… L’incroyable nouvelle de Madosh Tambwe, humoriste d’un insolent pochade lorsque de Clermont – Bordeaux-Bègles
Il a éprouvé qu’une histoire adjonction envers les joueurs présentait prévue ce mardi 17 septembre, quelque d’signifier le tracas de la poison. “Il faut enrayer totalement ce fléau en Top 14 ! Dire qu’il y a de la répression, qu’il y a des sanctions, qu’il faut contrôler, oui ! Mais, d’abord, il faut essayer de comprendre et de faire de la prévention.”
Les troisièmes arrêt pendant lequel le rugby sont un chapitre stop délicat et litigieux. “Il ne faut pas non plus y voir que des sauvages. On peut s’amuser et, des dérives, il y en a eu de tout temps. Mais, aujourd’hui, il faut voir comment on peut les maîtriser du mieux possible, il faut aider (les joueurs) et les aiguiller”, explique Frank Azéma.
A consumer comme :
Top 14 : un turfiste du Racing 92 placé en gardiennage à vue avec coups conjugales, son association “s’abstient de tout commentaire”
“C’est ce qu’on essaye de faire. On a pas mal de discussions avec les leaders du groupe, avec tous les joueurs, avec le président, le directeur général ou encore Christian Lanta, qui est impliqué dans le projet.” Il conclut en disant : “C’est un phénomène de société et, si on n’est pas épargné, à nous d’endiguer ça le plus sainement possible.”