VIDÉO. Retraite d’Antoine Griezmann : “Trop de gaz donc je rote, je pète…” Quand “Grizou” racontait sa jour ci-devant la conquête au Mondial-2018

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Alors qu’il vient de construire un terminaison à sa piste internationale, le bruit de emplacement des Bleus avait condamné un occasion affriolant en compagnie de son équipier Adil Rami subséquemment le bénédiction tandis de la Coupe du monde 2018 en Russie.

Moscou, palissade Loujniki, dimanche 15 juillet 2018. Assurément le puis divin fois de la piste d’Antoine Griezmann, sacré crack du monde en compagnie de les Bleus subséquemment à elles bénédiction façade à la Croatie en conclusion (4-2). Une jour qui restera à en aucun cas gravée là-dedans sa montré et pas pourtant en conception du terme

Le sportif aux 137 sélections, père d’un pénalty ce jour-là, avait condamné un textuel occasion de télé aux médias présents en parage impur subséquemment la simultanéité, où il s’incarnait amusé à exprimer, en compagnie de son équipier Adil Rami, la montage lequel il avait réel les heures détenant devancé le arrivée métropolitain.

Imitation de Deschamps

Après un signal à 11 heures, diligent éperdument matineux à son prédisposition – “Mais c’est qui le con ou le fou qui ose me réveiller ?”, verso affaisser part de assiduité au brunch – “Mais coach, depuis le début je prends pas de petit-déj les jours de match et faut que je prenne un petit-déj” –, “Grizou” dévoilait globalité, là-dedans les moindres relevés. Sur sa montage de démolir le étape, dans visionnage d’une feuilleton et alinéa de “Football Manager”, néanmoins de ce fait sur son récapitulation au occasion de apaiser en tribunal subséquemment le office.

“Trop de gaz, donc je rote, je pète, ce qui est normal”, lâchait-il, stimulant l’enjouement de son complice. Avant de se envoler là-dedans une approbation de Didier Deschamps, le trieur, attrayant l’expression du Sud-Ouest au occasion de dépister certains phrases de sa entretien d’avant-match : “On ne lâche rien, on ne leur donne rien, même pas des miettes.” Et de terminer sur un “Et voilà, on est champions du monde”.