“C’est tout simplement une mort programmée” : la longue terreur des radios associatives tarnaises

l’établissant
Dans le carcasse de ressources 2025, le autorité a la obstination de corriger de 30 % les aides aux radios associatives. Sur les antennes tarnaises, l’terreur est longue verso l’destinée.

“Évidemment que nous sommes dans une situation plus que compliquée. Jamais un gouvernement n’a eu la volonté d’une telle baisse du Fonds de soutien à l’expression radiophonique (FSER). Vous imaginez, 30 % de baisse sur une subvention qui fournit 50 % de notre budget, c’est lourd, trop lourd pour nous.”

La dirigeante d’succursale de Radio d’Autan, Carla Caldeira est la chant d’une terreur avant-première des radios associatives. Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que quoique un crédit de la herbage arrêté, ce sont eux, les mieux adolescents qui sont les mieux impactés.

“Si tout le monde avait été touché, on aurait certainement mieux compris. Mais ce ne sont que nous qui sommes touchées”, rajoute-t-elle. Il faut épistémè que sur les 12 millions de demandes d’économies réclamées à la Direction avant-première des médias et des sociétés culturelles, 10,4 millions sont supportés par les radios locales associatives.

Peur de montrer

Radio d’Autan, mieux notoire en dessous le nom “R’D’autan” pertuisane depuis 40 ans sur le parage. “Notre modèle est mis à mal, appuie la directrice d’antenne. Notre radio, c’est trois salariés permanents. Avec cette baisse historique, c’est un poste en moins. Comme tous les autres confrères, nous ne pourrons plus mettre en place les projets aidés par ce Fonds. Nous avons signé une convention qui nous demande une mission sociale de proximité, des actions sur nos territoires.”

Même rendu verso Radio Albigés, média global d’procès locale depuis 1981. “Albigés, c’est cinq salariés permanents et des dizaines de bénévoles, explique un membre de cette radio locale tarnaise. Avec cette baisse sans précédent, c’est notre modèle qui est mis en péril. Nous avons dans notre cahier des charges des missions de services publiques. Sans cet argent, nous ne pourrons plus assumer tout cela.”

Que procéder apparence à cette concurrence droite ? “Déjà, on espère que le gouvernement va faire machine arrière, affirme Carla Caldeira. Si ce n’est pas le cas, on n’aura plus qu’à augmenter notre budget publicité, alors que nous sommes tout sauf une radio commerciale. L’ensemble du secteur est très inquiet de cette décision que l’on ne comprend pas.”

Une efficace achèvement factionnaire proverbial

Pour Hugues de Vesins, dirigeant du coiffure similaire CFM Afrique, qui couvre quatre départements lesquels le Tarn (derrière des antennes à Cordes et Lacaune) : “c’est tout simplement la mort programmée des radios associatives par Bercy”.

Il ajoute : “Contrairement à ce qu’il avait annoncé, le gouvernement ne s’en prend pas aux plus riches mais aux plus pauvres des médias. Il ne prend pas en compte nos territoires et poursuit l’offensive contre les territoires ruraux.”

Le dirigeant de CFM ne décolère pas. “On va encore réduire le lien social avec moins de soutien aux acteurs culturels, moins d’éducation aux médias pour les plus jeunes, moins d’information de proximité. Bref, mois de radio d’Ici.” L’terreur est avant-première derrière cette efficace alarme de perdre à abject feu.