Les élus du colloque départemental de Tarn-et-Garonne sont réunis, jeudi 17 octobre 2024, quant à contester de la ténacité modificative du comptabilité 2024. Mais, déjà, le comptabilité 2025 est à cause toutes les têtes. Les dotations de l’Balance devraient en conclusion accroupir de sept millions d’euros quant à la corps. “Je suis très inquiet”, explique le gouvernant Michel Weill. “C’est un choc”, ajoute la présidente de la agio des paierie, Valérie Rabault.
La colloque avait esthétique taper sur la ténacité modificative du comptabilité administrateur 2024, ce sont capital les recettes de l’cycle 2025 qui inquiétaient entiers les élus du colloque départemental de Tarn-et-Garonne, réunis en cellule absolue jeudi 17 octobre 2024.
Encore comme depuis les orientations budgétaires éclaircies par le Premier médiateur Michel Barnier, à cause le ajusté du comptabilité de l’Balance projeté quant à 2025. Le gouvernant du colloque départemental n’a pas prévu lentement quant à déflorer le partie.
Des “informations partielles particulièrement préoccupantes”
Dès son oraison préliminaire de la cellule, Michel Weill a de ce fait expérimenté de “particulièrement préoccupantes” les “informations partielles” du ébauche de comptabilité de l’Balance. “Le nôtre risque de se voir amputé de près de neuf millions de recettes”, a poursuivi l’suranné échevin de Montbeton.
Cela pourrait-il implanter en danger la gracieuse transaction de l’érection ? Car couramment, le séance d’orientations budgétaires est classiquement présenté au espèce de la cellule absolue du colloque départemental de décembre.
Le gouvernant Michel Weill l’a annoncé publiquement : “Je considère qu’à ce stade, nous ne disposons pas des informations nécessaires pour construire ce budget 2025 dans le cadre du calendrier initialement prévu. Si cela s’avérait nécessaire, le débat d’orientations budgétaires (DOB) pour 2025 pourrait être décalé, si besoin.”
“Il y a trois options”
Après la commencement de la ténacité modificative (DM) du comptabilité administrateur (BP) par la présidente de la agio des paierie, Valérie Rabault a été inéluctablement interrogée sur les perspectives du comptabilité de l’cycle suivante.
“L’équation est très compliquée, a concédé directement la socialiste. L’État va baisser de sept millions d’euros pour le Département. Si l’on ajoute Montauban et le Grand Montauban, cela monte à dix millions d’euros. C’est énorme, c’est un choc ! Il y a donc trois options : baisser l’investissement, augmenter l’emprunt ou baisser les dépenses de fonctionnement. Ce sera sans doute un peu des trois.”
“Dix millions, c’est beaucoup pour un département comme le nôtre”
Face à cette empêchement, la présidente de la agio des paierie l’assure : “Il y a un vrai message à faire passer à nos concitoyens : dix millions, c’est beaucoup pour un département comme le nôtre.”
L’aggravation des dépenses de action, lequel les dépenses de personnels, a été pointée. Mais sézigue a été illustrée par la début vice-présidente de l’chambre, Marie-Claude Noir, en compte.
“C’est une hausse de 5 % de la masse salariale par rapport à 2023. Les dépenses pour les assistants familiaux ont, elles, augmenté de 12 %, c’est significatif, parce que nous recrutons des familles d’accueil pour pouvoir caser le plus possible d’enfants en difficulté”, reprend la égérie départementale et échevin de Campsas. Sans cet mine, la progression est de 3 %, sinon 1,5 million d’euros proportionnellement à l’cycle précédente.
“Impensable de ne pas aider le monde agricole”
“Il reste encore des sujets à traiter. On veut engage une refonte des dispositifs d’action sociale, il y aura des choix à faire. Mais nous sommes en contrainte sur la masse salariale et on y veille particulièrement. Il n’y a plus d’embauche nouvelle, simplement des remplacements sur les départs en retraite”, a poursuivi la début vice-présidente.
Jérôme Beq, échevin de Labastide-Saint-Pierre, a pendant espacé une axiome : “Il faudra trouver des solutions parmi nos compétences facultatives. L’aide agricole en fait partie. Mais dans un département comme le nôtre, où l’agriculture est le premier secteur en termes d’emploi, ce serait impensable de ne pas aider le monde agricole”, a tranché l’élu du Tarn-Tescou-Quercy Vert.