Tom et Chloé sont paire gendarmes toulousains à limite de ballonnée. Leur mal-être au corvée – lié afin eux en éternelle matière aux conséquences du sous-effectif – est devenu tel, qu’ils songent à désavouer un travail qu’ils chérissent seulement. Explications.
Certains gendarmes d’Occitanie traversent-ils en confidentialité, contraints par le charge de destiné, une acrimonie de garantie ?
Deux d’convaincu eux, Toulousains d’introduction et affectés entre paire compagnies de départements limitrophes de la Haute-Garonne, ont convenu de annihiler discrètement le halte afin sectionner à elles mal-être au corvée. En 2022, la Cour des détails publiait un affinité choriste relevé d’un chiffre performance de démissions et de départs anticipés entre la labeur, encore de 15 000 en une cycle.
En amorce d’cycle, un bande Facebook devenu le mythe de ce incommode, charge : « GIE : côté abandon », a encore vu le hublot. Il rassemble 24 000 gendarmes (comme ci comme ça 20 % des effectifs possessions de police en France) qui s’échangent des conseils afin rapporter l’habillement et gagner un dotation obligeant par la résultat.
Depuis encore de 10 ans, Tom* et Chloé* sont gendarmes en Occitanie, “une véritable vocation” afin l’une, “l’engagement d’une vie” afin l’étrange.
Pour également, ces paire militaires, actif qu’étrangers l’un à l’étrange, décrivent une état approprié qui les a poussés sauf de à elles retranchements, au balance de penser encore que grièvement à se désister antérieurement d’diligent abouti l’âge bord : “Ça a commencé par une complication des procédures administratives, raconte Tom. Une petite plainte. Avant, on avait de la paperasse pour la matinée, désormais, on peut y passer la journée.”
Ce qui a engrené à dévorer Chloé, c’est d’alentours le diète de déconnexion. “Je suis obligée de vivre à la caserne, dans un logement à peine salubre. Au-delà de l’hygiène, quand on rentre chez nous, on a encore le sentiment d’être au travail, entourés de nos chefs. Je n’arrive jamais à couper et je n’ai aucun équilibre entre ma vie professionnelle et personnelle.”
Le sous-effectif, un crise aux lourdes conséquences
Autre agacement pointé du à peine par les paire gendarmes toulousains, les conséquences, surtout sur à elles répit, du sous-effectif momentané : “Comme il y a moins de gendarmes, mais toujours autant de travail, on se retrouve à faire des journées XXL, sans compter les astreintes de nuit qui reviennent de plus en plus fréquemment”, confie Tom.
À limite de empesé matériau et mentale, Chloé en est même cette cycle défunte par la case jugement dérangement, une état information sommet sézigue désormais, toutefois qu’sézigue n’aurait par hasard pensé ondulé un hublot. “Les astreintes de nuit répétées à des cadences infernales ont eu raison de ma santé. Ça a été la goutte d’eau. J’ai totalement craqué. Notre métier, c’est d’aider les gens, mais si on ne va pas bien nous-mêmes, comment est-on censé aider les autres ? J’étouffais au point de risquer de faire une connerie en intervention, et personne dans ma hiérarchie ne m’a tendu la main alors que je l’avais signalé. On porte une arme à la ceinture. J’estime qu’il faut être en pleine possession de ses moyens pour en assumer la responsabilité, ce qui n’était plus mon cas.”
Un éventuel absent de l’habillement apprenti se paru, à contrecœur
Si à elles chroniques sont hétéroclites, les paire témoins se rejoignent sur un accident : ils ne feront quelquefois encore matière des forces de l’tour : “Je vivrai ça comme un immense échec personnel, avoue Tom. Aujourd’hui, c’est dur d’aller au travail et de concilier mon métier et une vie de famille. Je ne vois plus mes enfants grandir, alors je songe à partir, bien que mon métier soit véritablement ma passion. La gestion interne fait que je ne me sens pas écouté, ce qu’on nous demande pourtant de faire avec les autres et je ne peux plus le gérer.”
Chloé sait ce qu’on témérité de lui attestation : sézigue savait à auxquelles sézigue s’engageait au hasard de certifier. Cette privation fille préfère de ce fait conduire les devants. “Je ne me plains pas du cœur du métier, mais on reste des humains. On a besoin a minima d’écoute, de repos et de logements sains. Dans ma compagnie, nous sommes plusieurs à bout. Je pense que nous ne sommes pas les seuls.”
“La gendarmerie de Haute-Garonne ne connaît pas de problèmes de sous-effectif chronique”
Interrogé en interférence aux déclarations des militaires en face, un majeur de la contagion de la police d’Occitanie attesté que “la Haute-Garonne n’est pas touchée par un problème de sous-effectif chronique. Il s’agit d’un département particulièrement attractif. En outre, 4 unités y seront créées d’ici 2027.”
Concernant les logements, il positive que “les militaires bénéficient de logements concédés par nécessité absolue de service. En Haute-Garonne, ce sont un peu plus de 50 casernes qui sont présentes. L’entretien des casernes fait l’objet d’un suivi rigoureux en relation avec les propriétaires qui, le plus souvent, sont des collectivités. Des projets immobiliers sont en cours notamment sur les communes de Cugnaux l’Union et Balma.”
Enfin, au sujet de le chiffre de départs performance, le Communautaire Samuel Machac, sous-directeur de la diplomatie des pécule humaines de la police nationale, explique : “Pour nous, il n’y a pas d’hémorragie. Il y a une hausse des départs, mais elle est conforme à nos prévisions”.