Michel Barnier, qui a coïncidence son exposé de habileté avant-première ce mardi 1er octobre, avait annoncé dès sa approche, son rêve de plier(se) de la caractère mentale la éternelle renseignement nationale de 2025. Il a donné principalement d’explications sur les raisons qui l’ont poussé à coopter ce affaire.
Peu en conséquence sa approche en autant que Premier envoyé, Michel Barnier a annoncé, lorsque d’une conférence en honnête sur France 2 qu’il souhaitait plier(se) de la “santé mentale” la “grande cause nationale” de l’période 2025, puis que la psychiatrie inopiné une inactivité louable et persistante en France.
Une renseignement, qui tient principalement à cœur au responsable du direction. Après son exposé de habileté avant-première, ce mardi 1er octobre, Michel Barnier voyait à bizuth à l’Assemblée nationale le futur, moyennant sa toute baptême assemblée de questions au direction.
9 000 suicides par an
Interrogée sur le approbation de plier(se) de la caractère mentale la éternelle renseignement de l’période prochaine, Michel Barnier a évoqué divers chiffres. “Il y a 9 000 suicides par an, dont beaucoup de jeunes qui sont touchés par des troubles psychiques. Un Français sur cinq connaît des problèmes de santé mentale à un moment donné de sa vie, nous le savons tous”, a égrainé le envoyé.
Santé mentale érigée en “grande cause nationale” : “Vous pouvez compter sur moi pour ce sujet”, confie @MichelBarnier. “Il y a tellement de problèmes de prévention, dans la rupture du parcours de soin, dans l’accueil des jeunes. […] Je les ai vécus familialement.”#DirectAN pic.twitter.com/KNghpAqMko
— LCP (@LCP) October 2, 2024
“Il y a tellement de problèmes de prévention, dans la rupture du parcours de soins, tellement de problèmes d’accueil de jeune dans un hôpital en urgence” ajoutant “je les ai vécus familialement, c’est pour ça que j’en parle”.
“Il y a des femmes et des familles désespérées parce qu’ils (sic) ne trouvent pas de lieu d’accueil dans l’urgence, ni même de lieu d’accueil pour des adultes qui sont malades”.
Michel Barnier, en personne touché par cette renseignement, rappelle en embarrassé que les solutions existent, acquittement au entraînement, à l’union.
Le Premier envoyé a de même mobilisé sa fille, “qui a travaillé à l’Unafam (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques, NDLR), qui a créé des foyers, y en a un qui porte son nom à Aix-les-Bains […] j’ai ça au fond de moi et c’est pour ça que j’ai choisi que la santé mentale soit la grande cause nationale”.