La patrie de Tarbes accueillie à afflouer les caisses de son Parc des expositions à mensuration de 500 000 € revers 2024

l’constituant
Lors du inédit entretien communal, une coopération trésorière au traité des charges permanencier assistant a été votée au boni de la administration “Tarbes Expo Pyrénées Congrès”. Explications.

Conduit en deçà la disposition d’une administration traitée “Tarbes Expo Pyrénées Congrès” depuis le 1er juillet 2013, le Parc des expositions est joint à la patrie de Tarbes. Aussi, tandis du inédit entretien communal, a été votée une coopération trésorière à mensuration de 505 300 €. “Les contraintes d’exploitation et obligations de service public s’appliquent dans un contexte évolutif, rappelle la délibération. La commercialisation des espaces est rendue toujours plus difficile par une grille tarifaire peu concurrentielle, configurée en rapport des charges de la régie.” Et de apparaître “l’effort d’investissement à consentir pour maintenir les équipements aux normes et les rendre attractifs qui pèse sur les comptes”.

Dans le liste des états, disparates manifestations ont bénéficié de sursis sur la vêtement à talent du corral des expositions. Parmi elles-mêmes, le Fight Parc Championship (114 000 € de sursis), les Petits As (89 000 €) ou les championnats de France de tir (60 000 €). “On nous dit que c’est essentiellement une manifestation qui n’a pas marché cette année, s’est interrogé Hervé Charles. Mais depuis 2020, on remet entre 300 et 400 000 € au pot chaque année pour le Parc des expos. On peut comprendre que le covid a fait souffrir ce secteur, mais bon…”

Des questionnements que le bourgmestre de Tarbes, Gérard Trémège a tenté de édulcorer, en comparant la conjoncture du corral à celle-ci de l’terminal. “Les collectivités contribuent largement au paiement du déficit. Mais avec près de 600 000 passagers, le retour sur investissement est plus important que le coût. La dernière étude faisait état de 56 M€ de retombées, soit un rapport de 1 à 10. Pour le parc, il y a des manifestations déficitaires où si l’on appliquait le tarif intégral, les organisateurs fuiraient. Or l’impact économique de ces manifestations est important. On ne souhaite pas que les Petits As ou les championnats de France de tir, qui drainent des milliers de personnes gratuitement ne s’en aillent. Par contre, le Fight Parc nous a coûté trop cher…” Et de parachever : ” À côté, il y a des manifestations qui ne demandent rien et paient le tarif intégral comme le Salon Bien-Être de ce week-end, qui a fait un carton et beaucoup d’entrées…”