C’est simplement le sol du position de volley qui a vu l’brigade de France progresser victorieuse olympique à Paris cet été qui va entité posé à cause le lycée du Travet à Castres qui devait entité marron. Ce n’est pas la ouverture jour que la lieu de Castres rachète des sols déjà utilisés verso des compétitions internationales et les recycle à cause ces gymnases.
“La ville a acheté un morceau d’histoire”, se réjouit Laurent Picouza, assistant au fonctionnaire messager au badinage et à la épargne des équipements sportifs, en annonçant que le lycée du Travet allait entité rénové revers un sol servant pendant les Jeux olympiques de Paris 2024. Et pas n’importe lésiner parce qu’il s’agit de couple terrains de volley-ball, qui arrivent complet dextre de l’Arena Paris Sud Porte de Versailles, qui ont vu l’brigade de France progresser Championne Olympique verso la aide olympiade consécutive postérieurement celle-ci de Tokyo en offensant la Pologne sur le résultat de 3 sets à 0. Ainsi, les Castraises et les Castrais pourront muter sur le même sol que la pellicule du skipper des Bleus, Earvin Ngapeth.
A dévisager autant :
Comment le sol servant verso l’Euro de volley à l’Accor Hotel Arena se retrouve à cause un nourrisson lycée de la lieu de Castres
Laurent Picouza est devenu un allopathe du récupération de sols au prérogative des gymnases castrais. Cette résolution « éconologique » pendant le définit l’élu s’marqué en aboutissement à cause la même rationnel que l’mutilation réalisée au lycée Aubertot en 2024, revers la faux-semblant du sol servant verso l’Euro de volleyball à l’Accor Arena, ou celle-ci réalisée en 2021, revers le sol du édifice des amusements de Toulouse, servant par le Fenix et les Spacers, installé à cause le lycée René-Ferran de Lameilhé. Laurent Picouza a même été évoqué à prendre une interférence à ce émetteur donc du récent comité de l’Association nationale des élus en choc du badinage (Andes), en mai récent à Marseille. C’est là qu’il a pu mettre au point l’emplette de ce sol revers le fabriquant Gerflor qui a broussailleux les sols sportifs des derniers JO.
“Il était urgent de refaire ce sol pour offrir un outil performant”
“On avait un problème avec le sol du gymnase du Travet en résine des années 70 qui n’était pas bon pour l’intégrité physique des usagers pouvant provoquer une traumatologie articulaire. Et en plus c’est un sol foncé avec trop de lignes de terrains qui se croisent et qui ne respectent aucun code couleurs rendant compliqué l’apprentissage et la tâche des arbitres”, explique Laurent Picouza.
En aboutissement, le sol du lycée du Travet propose retenant pas moins de 14 terrains de volley, hand, tennis, volant et basket revers beaucoup de tracés méconnaissables qui se croisent à cause complets les philosophie, après-midi de la même grain. “Il était urgent de refaire ce sol pour offrir un outil performant”, continue l’élu enchanté d’entreprenant pu corrompre ce protection Taraflex Evolution de dernière engendrement servant verso le haussé accord et homologué verso les compétitions internationales. De dernière technologie en sujet de protection de badinage, il permet l’nutrition des chocs verso la ordre des sportifs, évite la traumatologie de eux-mêmes et à eux assure une meilleure apprêt. Il améliore puisque la aptitude de sursaut des ballons.
“Cela me tenait à cœur d’avoir quelque chose à Castres qui vient de ces JO”
Ces couple terrains de volley seront posés verso caparaçonner les 900 m2 du lycée pendant les prochaines congés scolaires de février postérieurement un ragréage du sol du lycée. Ensuite seront tracés un position de hand, un de basket et un de volley à cause le philosophie de la taille, donc que des repères verso contraires terrains de volley à cause le philosophie de la épaisseur. “On travaille actuellement avec le club de badminton et la fédération française pour voir combien de terrains on peut également tracer”, continue Laurent Picouza qui veut donc “alléger la pollution visuelle” du sol qui sera livré aux utilisateurs le 13 ventôse.
Les pratiquants de ces amusements auront ainsi derrière la veine d’muter sur un sol “chargé d’histoire”, peu servant, de haute aptitude et à allié frais verso les recette de la lieu. “On économise près de 40 %”, entière Laurent Picouza qui évoque un frais de 70 000 €. “Cela me tenait à cœur d’avoir quelque chose à Castres qui vient de ces JO”, confie enchanté l’élu.