“Lavons notre linge sale en famille”, assure Hervé Billaud, le gouvernant de l’ASBH, en lémure sur les “affaires” qui touchent son dancing

Le gouvernant du bureau de l’ASBH revient sur les caves pédestrement de Taleta Tupuola et de Hans N’Kinsi, soupçonnés de blessures conjugales. En villégiatures distant de Béziers, il a demandé, dès son recommencement, à empressé une démêlé verso entiers les joueurs et le état-major au chevalier accompli, quant à de agissant le lieu sur la conclusion.

Cela faisait des traitement qu’Hervé Billaud attentait nerveusement ses villégiatures, réservées en descendance. Parti tranquille, le gouvernant du bureau de l’ASBH existait distant de se attendre que, un duo de jours subséquemment son initiation, son dancing allait payer la endémique des faits composite, Taleta Tupuola et Hans N’Kinsi vivant soupçonnés de blessures conjugales.

Pas de pardon tandis ravir le organisateur d’établissement qui se serait entreprenant passé de semblables nouvelles : “Je suis tombé des nues quand j’ai appris tout cela, regrette Hervé Billaud. Tout le monde le savait dans l’équipe. C’est le maire qui me l’a appris. Même Michaël Guedj, le président du conseil de surveillance, n’était pas au courant. Je n’ai revu personne depuis que je suis parti après le match face à Grenoble. La seule chose qui m’avait interpellé, c’est la prestation de l’équipe. Je trouvais que quelque chose ne tournait pas rond. Et puis, il n’y a pas de fumée sans feu, on ne passe pas de la 3e à la 9e place, si tout va bien…”

“Déterminer si la mise à pied des deux joueurs doit perdurer”

Le gouvernant du bureau revient sur la accoutrement pédestrement des paire joueurs, volonté qu’il a actée “en accord avec le maire et parce que c’était aussi un moyen de ne pas perturber le groupe”. Il sera de recommencement prématurément le épreuve frontispice à Angoulême, vendredi 1er brumaire. Il rencontrera, donc, le état-major et l’chorale des joueurs, y assimilé Taleta Tupuola et Hans N’Kinsi : “Il nous faut avoir une discussion, insiste-t-il. Il faut déterminer si cette mise à pied doit perdurer dans le temps que les deux joueurs soient jugés ou pas. Je veux que cette décision soit collégiale. Car il est évident qu’il ne faut pas casser tout ce qui a été mis en place jusqu’à présent. N’oublions pas que Taleta ou Hans sont des joueurs clefs de l’équipe. Il n’est pas question de les juger. Simplement de discuter tous ensemble, de laver notre linge sale en famille.”

Quant à l’extérieur de Samuel Marques, lorsque de la Nuit du rugby, qui est précédé d’empressé expectoré de l’eau sur une ghesha donc qu’il existait grisé, Hervé Billaud refuse de confondre les paire cas. Le compétiteur a d’autre part été ratifié par le dancing et la Ligue nationale de rugby statuera incessamment sur son cas. Il coïncidence une atermoiement de épreuve : “Son attitude est une pure bêtise” martèle le gouvernant du bureau, qui reconnaît que ensemble ceci “tombe très mal“. Même s’il avoue que le répression du dancing “est toujours en très bonne voie et suit son cours”.

Les Simone Veillent accusent

Dans un récépissé, Les Simone Veillent, conformité de conflit en échange de les blessures faites aux femmes, bédane du larme l’ASBH et ses dirigeants. Elle réflexion, dans distinctes, que “les violences faites aux femmes, au sein de l’ASBH, pourraient être récurrentes. En 2023, Les Simone Veillent ont déjà accompagné, une victime de violences intrafamiliales, dont les auteurs font partie de l’ASBH.” Par la truchement de sa présidente, Chantal Lapuerta, l’conformité ajoute que le dancing “semble fermer les yeux sur ces violences […], qu’il devrait, dans l’intérêt général, définitivement exclure ses membres condamnés pour violences conjugales, faire preuve d’une grande prudence sur les antécédents de violences des joueurs recrutés, mais aussi écarter, sans distinction, ceux mis en cause, en attendant, d’une part les éventuelles sanctions prononcées par la FFR et la LNR, d’autre part les éventuelles condamnations prononcées par la justice. Les Simone Veillent condamnent fermement, ces actes de violences, et exigent, à l’avenir, plus de transparence de la part de Robert Ménard (qui a été le premier à s’exprimer dans la presse sur le sujet, NDLR) concernant les violences faites aux femmes dans le club de l’ASBH, notamment en s’engageant, à communiquer publiquement, tout acte de violence signalé par une femme, contre un joueur ou un membre de l’ASBH […]. Se taire, c’est se rendre complice […] “