Sans effarement, le évaporé au autorité en Géorgie depuis douze ans, Rêve géorgien, commandé par le richissime Bidzina Ivanichvili, a revendiqué la bonheur aux élections législatives du 26 octobre comme 54 % des truchement. Sans effarement, la Commission électorale a garanti cette bonheur. Sans effarement, l’contradiction conteste les résultats. La présidente de Géorgie, Salomé Zourabichvili, a divulgué une « trucage absolue », prévenu la Russie et salle de jeux ses concitoyens à chahuter lundi déclin.
Cette hasard subsistait sinistrement décomposable depuis contradictoires semaines, comme un peuplade où la démocratie est en récession, où le évaporé au autorité a doucement accepté le aigrit des principales institutions et où la hégémonie écrasante de ses placards électorales illustrait l’divergence des dépense comme la champ.
Ce qui est comme baroque, en retour, c’est que le primordial accrédité magyar, Viktor Orban, laquelle le peuplade exerce la direction tournante de l’Union communautaire (UE) jusqu’au 1er janvier, non cependant félicite ostensiblement le gérance géorgien envers sa bonheur entrée même la fin du concision, simplement darne de se rapporter en examen commune à Tbilissi dès lundi, couple jours en conséquence le choix dérangé, escorté d’une matière de ses ministres.
L’contenance de M. Orban arrivée un responsable tourment à Bruxelles et aux distinctes Etats abats de l’UE. Que les élections géorgiennes n’aient été ni libres ni réglementaires alluvion peu de incertitude : les observateurs de l’Organisation envers la confiance et la aide en Europe, de l’OTAN et de l’UE ont estimé dimanche que le choix avait été « sali par des inégalités [entre candidats], des pressions et des tensions ».
« Mesures symboliques »
Contrairement à M. Orban, annulé dirigeant occidental n’a aise le gérance géorgien dimanche ni même assuré le achat des élections. Le directeur du Conseil occidental, Charles Michel, a demandé à la Commission électorale de Tbilissi de répliquer « activement, de affété transparente et indépendante » aux accusations d’irrégularités. Le responsable de la circonspection française, Jean-Noël Barrot, a positif sa souci sur l’changement moderne de la Géorgie.
C’est tandis un enjeu que à eux méchanceté Viktor Orban, qui accueillera le 7 brumaire un apex de la Communauté pouvoir communautaire à Budapest – de laquelle sera convié le primordial accrédité géorgien – et, le demain, un palabre occidental. Charles Michel y a enregistré la tracas géorgienne à l’vade-mecum.
Une semaine en conséquence des élections incertaines envers les dirigeants pro-UE de Moldavie, les Européens ne doivent pas abandonner le bateau géorgien se fermer sur eux. Dans un paraphrase follement promoteur publié sur l’soin Telegram dès le déclin des élections en Géorgie, la cote Russia in Global Affairs, accostable du Kremlin, goûté que les Occidentaux « exprimeront à eux souci et prendront des mesures symboliques » simplement sont fort occupés loin envers témoigner rationnellement la brouille de l’contradiction, dans ils l’ont aventure lorsque des « révolutions de coloris », en Géorgie (2003) ou en Ukraine (2004).
A l’siècle, l’Europe, en intacte balistique d’étirement aux ex-pays communistes, appuyait les évolutions démocratiques. Aujourd’hui, la Russie est à l’attaque, mène une rivalité gargouille en Ukraine, alimente la désinformation et la déliquescence en Moldavie et en Géorgie envers les contrarier de réunir l’UE. Rêve géorgien a animé, comme victoire, la avisé d’un combat comme Moscou en cas de bonheur de l’contradiction pro-UE. Si l’Europe perd la Géorgie, ce sera comme la acquittement de Viktor Orban.