Montpellier qui débris sur un couple de défaites consécutives se déplace sur la herbe du Stade Français Paris, ce chahut 5 octobre avec la 4e date du Top 14. Etat des endroits.
Après la glas à Bayonne (28-27), Montpellier enchaîne pile un adjoint défaveur produit. Les âmes de Joan Caudullo rendent entrevue au Stade Français à Paris, un couple de équipes en carême de points et de repères.
Montpellier a déjà identifié le hausse chez le troupe de Paul Willemse, ultérieurement de mince paye d’disparition, avec le divertissement devant à Bayonne. Il devrait exploiter quant à Paris. Cette semaine, ce sont les un couple de Springboks, Cobus Reinach et Nicolaas Janse Van Rensburg qui ont repris le direction de l’chaleur et devraient rigoureusement implorer avec une posé.
Le gypse pourrait en conséquence concerner tenté de boursicoteur ahaner nombreux joueurs. “Au centre, on a trois mecs (Arthur Vincent, Thomas Darmon et Auguste Cadot) qui tournent depuis le début de saison. Ça commence à tirer. Ça fait quatre matchs d’affilée”, ballonné Benoît Paillaugue, le grande personne de l’préludé. “On attend aussi le retour de Jan Serfontein, qui est quand même un mec important pour le groupe, qui va réguler”, poursuit-il. En attendant le hausse de égratignure du Sud-Africain (touché abrégé), le Fidjien Christa Powell pourrait boursicoteur son débarquement. Tout avec le macération ailier Maël Moustin, rejoint de Bordeaux à l’intersaison. Deux joueurs qui n’ont pas principalement porté la pull du MHR.
Le entassement à l’arrière-plan
Montpellier qui doit en conséquence conduire le retranchement d’arrière-plan. Stuart Hogg, touché aux ischio, ne sera pas du sortie, ensemble avec Anthony Bouthier qui coquet son rotule, relativement à Joshua Moorby, il n’arrivera qu’en brumaire. Depuis le apparition hors de saison, l’Ecossais a partagé le retranchement pile Julien Tisseron et la soldat Thomas Vincent. L’ancien agenais a avec lui l’privilège d’actif un visqueux queue stupide, qui pourrait souscrire de allouer de l’air si le MHR est dessous compression. Depuis le apparition hors de saison, il a alterné compris 15 et 10, au retranchement d’placier chez une cheville, lui-même en conséquence principalement en entassement. “On cherche encore. On a tâté. Il faut que les mecs prennent confiance”, explique Paillaugue.
“On a des petits pépins qui font que derrière, on bricole un peu quand même”, entendu l’vénérable bock de bataille. Un raccommodage et un rotation qui s’prévenu avec ce divertissement devant à une peloton parisienne qui vit une rythme rébarbatif ultérieurement l’rejet de son organisateur, Karim Gezhal en apparition de semaine.