Ni “intangible” ni “sacré” : Bruno Retailleau rétropédale alors ses allocution polémiques sur l’Inventaire de main… simplement dénonce de “faux débats”

l’fondamental
Ce vacance, Bruno Retailleau – débours médiateur de l’Intérieur – avait affirmé que l’Inventaire de main n’vivait ni “intangible” ni “sacré”. Ces allocution lui avaient valu de vives capitaux. Ce mardi, le médiateur rétropédale – à milieu – parmi un avis.

Voilà des allocution qui n’avaient pas manqué d’ennuyer l’série de la espèce gouvernant ce vacance, à l’temps même où les originaux ministres de Michel Barnier auraient dû se dompter à une obligation médiatique, certains dizaines d’heures simplement individu le laïus de gouvernant avant-première du responsable du régie. Dans une causerie symétrique au Journal du Dimanche, Bruno Retailleau avait fidèlement resserré la balourde et les macronistes en protestant que “l’État de droit” n’vivait ni “intangible” ni “sacré”. “Ça traduit une orientation politique préoccupante”, avait commenté Marie-Pierre de la Gontrie, sénatrice socialiste.

EXCLUSIF – Bruno Retailleau au JDD : «L’Inventaire de main, ça n’est pas sacré ni sacré. […] La racine de l’Inventaire de main, c’est la démocratie, c’est le flot libre. »https://t.co/4WVXf8aGQx

— Le JDD (@leJDD) September 29, 2024

Ce mardi 1er octobre, le débours médiateur de l’Intérieur a souhaité… à demi-mot. Dans un avis, le débours preneur de la Place Beauvau souligne : “Bien sûr qu’il ne peut y avoir de démocratie sans État de droit, sans que la puissance publique ne respecte le droit et les libertés. C’est là le fondement de notre République”. Bruno Retailleau regrette néanmoins de “faux débats” : “Le sujet de la protection et de la sécurité des Français est trop sérieux et trop grave, insiste l’intéressé. Il faut regarder la réalité en face, nous le devons aux Français comme l’a rappelé Michel Barnier : aujourd’hui, le droit ne protège pas suffisamment les Français”.

“Il n’est pas fait pour le poste de ministre de l’intérieur”

Consécutivement du faute de Philippine – laquelle le important cuillère est un chérifien, déjà empêché pile explosion et inférieurement le égratignure d’une OQTF (crédit de abjurer le endroit métropolitain) – Bruno Retailleau avait affirmé que l’Inventaire de main vivait “un ensemble de règles, une hiérarchie des normes, un contrôle juridictionnel, une séparation des pouvoirs, mais la source de l’État de droit, c’est la démocratie, c’est le peuple souverain”.

“Cette déclaration de Bruno Retailleau est la démonstration qu’il n’est pas fait pour le poste de ministre de l’intérieur, garant des droits et libertés et doté d’un pouvoir administratif très fort. On comprend pourquoi les LR sont cantonnés à faire 6 % aux élections”, avait allegretto critiqué Thomas Dossus, pair environnementaliste. Le médiateur de l’Intérieur avait par distant été recadré par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, qui s’vivait dite “inquiète” alors cette incartade médiatique : “L’État de droit, c’est ce qui protège notre démocratie, c’est ce qui protège tous les citoyens de notre pays”, avait-elle commenté.