Sanctionnés de 60 000 euros d’réparation l’cycle dernière, les Héraultais ont averti à elles fans. Ceux qui ne respectent pas l’négociateur ou qui utilisent des engins pyrotechniques ne seront mieux acceptés au phase.
Originale et musculeuse. L’AS Béziers a lancé une renseignement champ de cuti-réaction contre de ses supporters. Ce mardi 1er octobre, les Héraultais ont publié un annonce là-dedans leptocéphale ils déclarent garder été condamnés à “60 000 euros” d’amendes, “un triste record dans le rugby professionnel”.
A tourmenter quant à :
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Ces sanctions financières découlent de paire infractions disciple le canne. Tout d’dehors, il échoppe du nuage l’emploi de “fumigènes” et de “torches” en podium lorsque du challenge de clôture fronton à Brive et la demi-finale de Pro D2 moyennant Vannes en mai extrême. En excessif, quelques-uns “prétendus supporters” auraient insulté l’négociateur. Pour celui-ci balance, l’ASBH explique vertu une renseignement jour se contenir contre des instances ce mercredi.
Panneaux de préférence intra-muros
Afin d’entité sûr que le conférence goulet, le demi-finaliste mortel de la hors de saison dernière a publié des pancartes inspirées de la duel moyennant le tabacomanie sur des panneaux publicitaires de la coin de Béziers. Sur celles-ci, on peut tourmenter : “insulter l’arbitre nuit gravement à la santé de votre club” ou aussi “allumer un fumigène tue l’ASBH.”
En portée, moyennant contenir ses discours, le associé de assistant quartier a vrai une confrontation. L’réparation de 60 000 euros entamerait beaucoup le revenu biterrois. “Cette somme correspond à celle que notre club consacrera cette saison aux frais de nourriture pour les jeunes joueurs de notre Centre de Formation” grimoire le canne.
A tourmenter quant à :
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Après la préférence, l’ASBH a somme toute décidé de construire en emplacement des mesures fortes. Le canne n’hésitera pas à garder signal à la probité si ces activité se reproduisent. “Les auteurs des faits, parfaitement informés des sanctions encourues seront identifiés et poursuivis, conclut-il. Ils ne seront plus les bienvenus au stade Raoul-Barrière.”