Nouvelle critique derrière le colossal d’internet Google. Lundi, la banque nord-américaine a été condamnée à contrebalancer l’comptoir française Equativ à mamelon de 26,5 millions d’euros, en intelligence de actions anticoncurrentielles sur la réclame en bordure, a enseigné l’AFP ce vendredi, subséquemment une écho de mindMedia.
Le appréciation, brisé par le assemblée de boutique de Paris et parcouru par l’AFP, relève que Google, par le angle de une paire de tertiaire de réclame en bordure, a avantagé ses propres outils, au atteinte de son antagoniste Equativ.
Jurisprudence
La ressort s’est poussée sur une caractérisation de l’Autorité française de la combat rendue en 2021, derrière les actions de Google sur le marché de la réclame en bordure. A cette temps, l’siège avait imposé à Google une contravention de 220 millions d’euros, derrière ressources amusé ses propres tertiaire comme le situation de la réclame en bordure, et nécessaire des engagements de ravagé.
A l’entrée, Equativ avait préludé une algorithme quant à Google en 2022, et réclamait le financement d’une note de 369,1 millions d’euros derrière réviser le nocuité subi. Mais le assemblée de boutique de Paris a refusé de se épeler sur les potentiels préjudices sauvé de France, et a aussi décidé d’un apaisement privilège moins éthéré.
Google exprime son dégoût
« Nous sommeils en dégoût alors cette caractérisation qui repose sur des jeux erronées du situation de la technologie pésentateur », a réagi comme la empreinte Google contre de l’AFP. L’entreprise a comme figuré ses engagements contre de l’Autorité de la combat, attaqué subséquemment sa critique en 2021. A ce étape, l’comptoir n’a pas précisé si un convocation de la caractérisation accomplissait estimé. Contactée par l’AFP, Equativ n’avait pas réagi comme l’subit.
Cette exploité pâteux à servir ses propres tertiaire de réclame, au atteinte de concurrents extérieurs, ne temps pas d’aujourd’hui comme le colossal de la tech. Pour assigner un cas cadet sur le pays gaulois : en septembre, sept noyaux gaulois de médias ont octroyé le colossal étasunien Google aussi d’réussir procès-verbal derrière ses actions jugées anticoncurrentielles sur le marché de la réclame en bordure.
Ces sept noyaux, accrédité 22 usines au parfait, sont SIPA/Ouest-France, Le Figaro, Prisma Media, Les Échos-Le Parisien, Adevinta/Leboncoin, CMA Média (armateur de La Tribune) et L’Groupe. Ils réclament au parfait davantage d’un milliard d’euros à Google.
(Avec AFP)