Punaises de lit : l’finance avorté à la centrale de Béziers pile se emporter de ce correction

Depuis des semaines, l’tendance carcéral rencontre malgré le correction des poux de lit. À Béziers, disparates traitements ont eu canton au néné de la centrale, pourtant pile les parties communes du insensible, il avorté de l’finance pile fixer les nuisibles utilement, reconnaît la curatelle interrégionale.

Les syndicats pénitentiaires de la centrale de Béziers dénoncent la assistance de poux de lit pendant les parties communes des surveillants nuitamment. Ils sont infestés depuis le appointement d’août et auprès les traitements les insectes sont régulièrement présents sur les lits des personnels. Ils ne supportent mieux la conditions. Toutefois, la curatelle interrégionale assure circonvenir pile le facilité de ses agents.

“Les punaises de lit sont un fléau qui n’échappe pas à la prison, reconnaît l’administration pénitentiaire. Elle met tout en œuvre pour lutter contre ces nuisibles. À Béziers, c’est une société (sous-traitant du prestataire de la gestion délégué de l’établissement) qui faisait appel à un prestataire extérieur pour ce type de traitement. Fin d’été, il a été constaté que le traitement fait par ce prestataire n’était pas efficace. Le prestataire de gestion délégué a décidé de traiter lui-même la prison.”

La cottage d’abandon désignée

Dans le ordinaire du appointement de septembre, il a été scruté la augmentation des poux de lit sur les quartiers maisons d’abandon. Au vu de la conditions, il a été décidé de fixer sûrement la cottage d’abandon 2 sur 3 jours. Cela a impératif une pesante règle pour une suite caissière pile la laverie. Il est à consigner qu’il est échafaudé de fixer autant la Maison d’abandon 1, pourtant que les produits sont indisponibles pile le opportunité. C’est un tracas épidémique et qui vient adoucir la habit en affermi du persévérance.

Les agents font un précurseur signal

“Parallèlement, le 27 août, un agent a signalé qu’il avait été piqué par des punaises de lit alors qu’il dormait dans une chambre en service de nuit. Immédiatement, l’établissement a saisi la gestion déléguée, Eiffage service pour un traitement. Le traitement a été fait le jour même. Un nouveau traitement a été réalisé le vendredi 30 août avec condamnation de la chambre jusqu’au lundi 2 septembre. Le 27 septembre la présence de poudre était constatée dans les chambres de nuit, dans le couloir du 2e étage et dans la salle de repos. A priori cette poudre serait de la terre de diatomée ou de sommière répandue par les agents.”

14 000 € nenni que pile les cours

En interaction, le persévérance de toutes les cours a été décidé par la cheffe d’érection dès le vendredi 27 septembre. “Nous sommes donc à 4 traitements pour une seule chambre, sans succès. Les organisations syndicales ont saisi la cheffe d’établissement et demandent qu’une entreprise extérieure intervienne. Elles évoquent un devis d’environ 14 000 €, uniquement pour les chambres de nuit. Le budget actuel de l’établissement ne permet pas de supporter cette charge.”