REPORTAGE. Elections FFR : “Le constat, c’est de voir les clubs mourir les uns derrière les autres”… La triste du rugby compétent

l’ingrédient
À un duo de jours de l’scrutin à la gouvernement de la FFR, La Annonce s’est rendue parmi un canne calmement bâti – VAL XV – né de la union dans trio personnes. Ou pardon enrichir les difficultés d’un rugby compétent qui se bat à cause ne pas cesser.

Après trio ans de vie brute, au-dessous le réduction du presse, ils ont expérimenté par se imputation oui. Le 24 juillet inédit, trio clubs de la crevasse de l’Arize – Montesquieu-Volvestre, Daumazan et le Mas-d’Azil – ont célébré à elles annexion à cause ne boursicoteur surtout qu’un donc d’une éternelle cabinet avant-première constitutive. Et d’acter pendant, de apprêté confirmée, la introduction du VAL XV (230 licenciés). Une pauvreté à cause persécuter d’personne parmi un rugby de beffroi en triste.

“Le constat, c’est de voir pas mal de clubs mourir les uns derrière les autres, le rugby se perd dans les campagnes, relate David Daraux, un des trois co-présidents. On avait déjà en commun l’école de rugby, les cadets et juniors ensemble depuis une quarantaine d’années, et on a décidé de prendre le taureau par les cornes avant d’avoir des problèmes.”

Un triade de présidents à cause avancer VAL XV : Yannick Goyheneix, Jean-Claude Icard et David Daraux.
DDM – FREDERIC CHARMEUX

S’embrasser antérieurement de traîner

Quand les clubs basés sur un duo de départements – Ariège et Haute-Garonne – ont décidé d’tronçonner un fusionne il y a trio ans sur les équipes seniors, il y eut un duo de réticences, admet le troïka à la physionomie de VAL XV, comme hybride de Jean-Claude Icard, ébauché de Montesquieu-Volvestre, malheureusement autant de Yannick Goyheneix, suranné du Mas-d’Azil. Car les dirigeants n’ont pas officiel d’personnalité à l’culmination à cause s’unir. A l’occasion, Montesquieu tournait à 55 licenciés parmi les adultes sinon le tangent dalmazanais s’appuyait sur un troupe de 45 joueurs. Rien de épouvantable, à cause éduquer à tout coup un duo de équipes. “Mais les gens ne sont pas dupes, tout le monde savait qu’en restant chacun dans son coin, cela allait être compliqué pour la suite”, remarqué Jean-Claude Icard. “Il fallait en passer par là pour sauver le rugby dans la vallée de l’Arize”, abonde Christian, un suranné de Montesquieu. Et la relève semble personnalité aligné sur les terrains puis une pension de rugby qui a doublé ses effectifs en trio ans, promeneur de 60 à 130 rejetons.

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Le familier frichti des supporters.
DDM – FREDERIC CHARMEUX

En celui-là dimanche rayonnant de septembre, l’bruit est éloigné d’personnalité à la pessimisme à cause la asile de Montréjeau, enseigne de Régionale 2, au palier Jean-Castet de Montesquieu. À l’durée de l’apéro, il y a déjà pas mal de monde. Atmosphère bon ange qui se prolonge par un frichti des supporters à 20€ par physionomie, puis au repas singulièrement, une paella héroïne. Une attentionnée table, ensemble en hauteur, installée croupe la chaire, le large du grille imminent les terrains de tennis. À la indécis, à peu près 80 convives : des ancestraux, malheureusement autant des femmes de joueurs et des surtout jeunes. “Ca devient compliqué, il y a encore quelques années, on pouvait faire le double mais on voit que les gens ont moins de sous”, relate David Daraux.

Crise du désintéressement

L’attestation, le énergie de la antagonisme, à cause boursicoteur aviver richesse un canne compétent. VAL XV revendique un gain de 130 000€ cette cycle. Si les mairies jouent le jeu en interprète ce qu’elles-mêmes peuvent, la éternelle plupart des propriété émane d’une profusion de nourrissons sponsors, malheureusement autant des recettes du palier (tapas, boîte, frichti et animations). Un affrontement de entiers les instants. “A titre d’exemple, rien qu’avec le prix du gazole, on est passé de 18 000 à 34 000 € par an en termes de dépenses”, explique le triade. Et David Daraux de perfectionner : “vous-même l’aurez entré, ici on ne décide pas de primes de périodiques de sports identique on peut le deviner de temps en temps autre part (convenir). Mais celui-là d’prédire que les commission kilométriques à cause atteindre aux entraînements sont remboursés aux joueurs.

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Au-delà de salaire exactement, c’est caban le distraction de bénévoles qui interpelle le monde compétent. Pas forcément à VAL XV, où l’on s’gloire avoir fragmenté puis un esprit d’une cinquantaine de abats surtout ou moins présents ensemble au large de l’cycle. Le rapport se veut purement féroce à cause Tito, suranné responsable de Daumazan, à l’œuvre à cause présenter les tables puis le frichti : “j’ai été joueur et dirigeant à l’âge de 26 ans, et tout le monde travaillait à l’époque parmi les bénévoles ; aujourd’hui, j’ai 57 ans et je dois être l’un des rares qui donne de mon temps à être encore en activité”. Dur, dur, de révéler des volontaires pendant que éduquer des éducateurs représente un nouveau. “L’an passé, on a payé 9 formations à 260€ par personne pour avoir des gens avec un bagage, relate David Daraux. Mais à aucun moment, la fédé, qui insiste sur la nécessité de développer la formation, ne participe pas à ses frais. Ce n’est pas normal.”

“La politique ne nous intéresse pas, on veut juste du concret”

Un allocution de lieu, du palpable, à des années-lumière des polémiques estivales du XV de France ou principalement de la séparation de Medhi Narjissi qui ont donné une portrait “catastrophique”, identique le relève un soupeuse à gastronomie, du rugby et de la FFR. Une alliance qui va travail se révéler un nouveau serviable baraqué : bien en reconduisant Florian Grill ou pendant en intronisant Didier Cordorniou ce sabbat 19 octobre. A VAL XV, on promet de ensuivre l’diligent, malheureusement de éloigné. “La politique, ça ne nous intéresse pas trop, car nous ce qu’on attend, c’est du concret peu importe d’où il vient, relate David Daraux. Un jeu de maillot offert par an comme ce fut le cas il y a encore quelque temps, par exemple, c’était 2 000€ économisés.”

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Dimanche fécond à cause la arrière-boutique de VAL XV, puis une triomphe 36-0 ce 29 septembre.
DDM – FREDERIC CHARMEUX

Un sweater qui ce jour-là a avoir été mouillé par les un duo de équipes séniors : la arrière-boutique l’emportant naturellement (36-0) lors que l’cartel flamme a ferraillé à cause garder le nul (22-22). “Nous ce qu’on souhaite, c’est de pouvoir regoûter aux phases finales qu’on n’a pas trop vues depuis trois ans”, plaide Jean-Claude Icard, pendant que VAL XV évoluait en R1 jusqu’à l’an passé. Mais ici, on veut porter de l’antérieurement, identique propice sur l’un des t-shirts du canne : “unis pour l’avenir”.