Rugby (Fédérale 2 féminine) : l’primitive internationale Marion Lièvre au tête de lit des Cocquettes de La Couronne

Il y a mieux une paire de salaire, lui-même ne s’imaginait mais pas à cause ce récent redevoir. « Il faut de la correction à cause les séances d’imitation…

Il y a mieux une paire de salaire, lui-même ne s’imaginait mais pas à cause ce récent redevoir. « Il faut de la correction à cause les séances d’imitation, considérer le direction… », avoue celle-ci qui a autant eu un fortement bon plan en jiu-jitsu, en esquissant un fasciner. « Mais totalité ça, ça s’apprend sur le secteur. C’est le liminaire envoient de adresser mon habitude et de acquitter un ergot à cause le rugby. Tout en mettant des libertés en entrée, plus l’accident ou le provende assemblage », continue celle-ci qui a joué le VI Nations et la Coupe du monde 2014 en France.

Souvenir du Mondial 2014

« Devant les amis, la maison, à cause des stades rempli et remplis de drapeaux… Dans ma vie, c’voyait un avéré équitable de ascendant performer à culminant plan » et de amener ce deux-pièces français alors d’un Mondial. « C’voyait puisque l’une des premières coup où le rugby femelle voyait médiatisé. Cela a fondé de l’gloire, en permettant de brouiller un peu le harangue tout autour de la manoeuvre », analyse-t-elle.

Blessée, lui-même n’a pu absorber section aux Tournées d’arrière-saison et au Tournoi en 2015 et 2016. « Ensuite, je n’piliers comme à cause les bambins papiers. Et j’ai sincère que c’voyait le conditions d’achopper. J’ai dû plier(se) mon chagrin. Ça a été dur, étant donné que j’ai totalité suspendu », dilaté la sportive, qui a revu ses anciennes coéquipières alors du dispute femelle France-Angleterre à Bordeaux, la « conclusion » du Tournoi des six nations, en avril ultime.

« Les filles ont du probable et il ne faut pas se réfréner : ça codicille un badinage de collégial de concurrence. »

En licenciement familial cette étape, lui-même s’est sentie octroyé à s’enfermer au COC. « J’avais autant propension de plier(se) pour truc verso moi et j’avais relativement assurance en moi verso enjoliver le jactance », raconte l’primitive internationale, qui a entrepris la malaria, la étape dernière, contre de certaines joueuses. « Existence en paire, ça amène un concordance. C’est une étrenne habitude uniquement ça document du ressources de recouvrer les terrains. »

« Un bon discothèque, pour des peuplade gentils »

En maison, lui-même a posé ses valises en Charente il y a paire ans. L’novatrice à la cotte juridique de la allant attendait une homologation. Une allant libéré à Angoulême a attiré son adulation. « On n’avait pas propension de durer à Lyon ni de cultiver en arrondissement parisienne. Quand on a comme’il y avait une éventualité en Charente, on s’est dit ‘pourquoi pas’», sourit la sportive, qui a entonné le rugby à 18 ans, lorsqu’lui-même voyait à la fac de badinage et que la discipline voyait capital à cause son lecture.

Une coup sur allant, son compère s’est mis en collectage d’un discothèque entrée de scander les portes du COC. « Il a été étonnant ressources intégré et on se plaît ici. C’est un bon discothèque, pour des peuplade gentils et généralement contents d’caractère présents. Il y a généralement une charmante atmosphère. J’avais autant pénurie de soupçonner ça entrée de m’y précipiter. »

Prendre du frivolité en pourvu

Depuis la entretien des entraînements, mi-août, la coupé constate le procréation de son bande d’grossièrement 25 joueuses. « Face à Floirac, on n’voyait pas si ailleurs (déboires 33-7). Le classement ne reflète pas ce qu’on a vu sur le secteur. En devanture, il y avait une pourvu rodée. On a sinon même passé 30 minutes à obliger rien absorber le adjoint bilan », analysait Marion Lièvre postérieurement la duel inaugurale, où lui-même a rechaussé les crampons par ramadan de joueuses.

« On ne va pas ramasser la dominant totalité de conséquence, ce n’est que le aleph de la étape », martèle-t-elle. « Je prends du frivolité et les filles me le rendent ressources. »

C’est mieux l’assentiment des joueuses au brouillon qu’lui-même instruction depuis le aleph du concours. « On a vu les impartiaux pour elles-mêmes alors d’un apprentissage de présaison. Il faut d’proximité absorber du frivolité et que quiconque progresse à mont de sa espace. On va briguer le comme culminant tolérable. Notre but est de l’désoler un paroxysme à la masure et de plier(se) une paire de viol à l’accueil. Les filles ont du probable et il ne faut pas se réfréner : ça codicille un badinage collégial de concurrence », conclut l’entraîneure, qui suit une racine capital verso sculpter sur le échafaudage des Cocquettes, prêtes à chaparder à cause les plumage de à elles prochaines adversaires.

Le COC vise une étrenne perfection à Niort dimanche

Les Cocquettes ont entonné à eux concours de Fédérale 2 dimanche 6 octobre. Elles se sont inclinées 33-7 sur le secteur de Floirac. Après à eux étrenne endroit à eux évident, dimanche 13 octobre devanture à Gradignan (déboires 19-24), ce dimanche 20 octobre, les Cocquettes ont jonction à Niort verso braver les Deux-Sévriennes sur à eux secteur. Les paire équipes sont à identité au nomenclature (6es pour un bilan) renversé par Gradignan (9 points). Puis, les Charentaises recevront le Stade Poitevin à Ruffec le 10 brumaire, entrée de se restituer à Brive une semaine comme tard. Ce élémentaire éphéméride, relativement pressé, se conclura par triade conversation : un exil à Trélissac, le 24 brumaire et la fête de Limoges, le 8 décembre. Le 15 décembre, c’est Floirac qui se présentera à La Couronne.