Josyan Sieurac, un Ariégeois de Saverdun âgé de 64 ans et pistard de postérieur, s’est lancé le vantardise de reconnaître 3 900 km en cent jours sur la remblai 66 aux Factures-Unis, aussi de faucher des ressources avec l’annexion toulousaine “1 maillot pour la vie”. Sur la remblai depuis 55 jours, il témoigne.
Ancien rugbyman, neuf retraité de 64 ans, l’Ariégeois de Saverdun Josyan Sieurac savoure, en ce mardi 29 octobre une accalmie salvatrice. Parti le 2 septembre de Chicago, au coin du appareillage autorisé de la imaginaire remblai 66 (3 900 km), qui arc-boutant trio fusées horaires et huit Factures aux USA, ce marathonien ancien cartouche les accus. Il a déjà feuilleté 2 400 km. Vient de enjamber le Nouveau Mexique et arrive en Arizona.
“J’alterne entre course et marche”
“J’alterne, dit-il, entre la course et la marche, sauf ces dernières semaines où je traverse des zones désertiques et où il y a peu de ravitaillement et je dois prévoir. Avec un sac de 9 kg, on ne peut pas courir un marathon, je marche.”
Ce qui a poussé cet catégorique de la excursion de postérieur – il a traversé les Pyrénées sur alors de 850 km en dix-huit jours et participe constamment à des ultra-trails – c’est la richesse de ressources avec l’annexion toulousaine “1 maillot pour la vie” qui s’fermeture ” à accomplir les rêves de milliers d’enfants touchés par la maladie”. En enceinte prédilection présidentielle et du rixe Trump-Harris, Josyan Sieurac a fortement hâtivement été plongé dans lequel le ablution. C’est sa ancienne coup sur le sol nord-américain, malheureusement sinon vaincre la dialecte de Shakespeare.
“Je me suis fait arrêter par la police”
“J’entends en effet beaucoup parler d’élection, j’ai surtout croisé des trumpistes qui s’exprimaient, mais je parle très très mal anglais, regrette-t-il. Ça m’a joué des tours dès le quatrième jour où je me suis fait arrêter par la police parce que je courais sur une autoroute de quatre voies, l’Interstate 40, et c’est interdit aux piétons. Ils ont bien vu que l’anglais était un handicap pour moi, ils m’ont mis dans la voiture et m’ont déposé plus loin sur la route 66. ça s’est relativement bien passé.”
Parti à l’épisode, havresac
Affûté avec les fortement longues distances, cette coup sinon dénivelés, le Saverdunois avoue “être parti à l’aventure, sac à dos, c’est la première que je viens ici, j’ai bien lu quelques livres avant. Malgré la barrière de la langue, j’ai de bons rapports avec les gens. Je cours en tenue de sport, avec un petit drapeau américain et un autre français, je demande de l’eau à la population. Notamment durant les premiers 1 000 km où j’ai traversé pas mal de villes et villages.” Josyan Sieurac espère rejoindre alpha décembre à Santa Monica (Los Angeles) en Californie.