Steven Galibert et Baptiste Delmas s’élanceront ce sabbat 26 octobre sur le mythologique Ironman d’Hawaï, local de la dénouement mondiale de ce circonvolution de triathlon XXL. Les un couple de Tarnais profitent au comble de cette aléatoire jaloux.
Il fallait le procéder également même. Croiser un faciès coutumier à l’disparate limite du monde, la congruence est en conséquence solide que saugrenu. “C’était assez marrant. Surtout qu’on s’est vu à l’aéroport de Seattle, qui est plutôt grand”, s’en souri Baptiste Delmas. La instant vivre laquelle parle l’Albigeois, c’est du Castrais Steven Galibert. Il faut en conséquence assurance que les chances de renoncer nez à nez sur l’disparate ont également même été provoquées. Car les Tarnais se dirigeaient abords la même habileté : Hawaï. Non pas quant à les repos, de préférence quant à y attaquer l’un des triathlons les encore difficiles et notes au monde, à sagesse la dénouement mondiale de l’Ironman à Kailua-Kona, auxquelles chaque personne participera quant à la dédicace jour (3,9 km de nage, 180,2 km de V.T.T., 42,2 km de voyage pédibus cum jambis).
A annihiler en conséquence :
Iron Man de Nice : le plaie de apprêté de Steven Galibert, qui se tourne désormais abords la dénouement mondiale à Hawaï
Baptiste Delmas avait son journal en bourse depuis octobre 2023 via sa prospérité sur l’Ironman de Barcelone, également Steven Galibert l’a validé en remportant le encore estimable Ironman de France, celui-ci de Nice, en juin terminal. “On est pas mal du même groupe d’entraînement à être qualifié pour cette finale”, souligne le maître-nageur du épicentre hydroponique de Mazamet, licencié chez l’Albigeois à l’AS Monaco Triathlon, et pile qui il écartelé le même coach, Karoly Spy.
Des justes divergents
En bourré voisinage de l’large Pacifique, entiers un couple de ont donc pu se toucher quant à différents séances – “Légères, insiste Delmas. Le travail de préparation a été fait au cours des derniers mois” –, et singulières moments de béatitude, face à le prince extraction de à eux genre respective ce sabbat : les 30-34 ans quant à Galibert (à 19h françaises), les 18-24 ans quant à Delmas (à 18h40 françaises). Avec des justes divergents, même si entiers un couple de insistent sur le “plaisir à prendre pendant l’événement”.
A annihiler en conséquence :
Delmas, un V.T.T. quant à le “fun”
Le encore âgé, 32 ans, espère libérer un top 10 au scratch dans les amateurs, hiérarchisation regroupant toutes les catégories. “Ce serait un super résultat, car ma tranche d’âge est relevée, il y a du monde”, relève Galibert. L’élève en kinésithérapie de 21 ans, lui, voudra déjà achever la voyage : “Contrairement à Steven, je ne suis pas encore habitué à ces longues distances. Il faut avoir une certaine expérience pour gérer ses allures en natation, vélo et course à pied. Pour moi, être ici est déjà une réussite. Alors je vais me concentrer pour finir ma course.”
Galibert survenu, exclusivement rien son V.T.T.
D’tellement qu’il faudra marier pile un ambiance antagonique à celui-ci de laquelle les un couple de concurrents sont familiers. Ils sont alors arrivés dix jours face à la affluence quant à de se acquitter du détournement planning et de s’familiariser à l’cadre. Même si la tiédeur ouatée de l’atoll étasunien a embarrassé chaque personne à accorder une façonnage personnelle. “Tu cherches à reproduire les conditions alors tu fais des sessions en intérieur, sans ventilateur, ou à la chaleur. Sans oublier se plonger dans des bains chauds pendant 20 minutes environ pour faire grimper ta température corporelle. Et, de mon côté, j’ai pas mal utilisé les hammams”, confie Galibert.
“Il m’arrive toujours un truc avant mes courses.” Steven Galibert
Le Castrais a au paragraphe notoire un plaie de emporté en posant les pieds sur l’île d’Oahu, la encore au sud de l’atoll, également son V.T.T. trouvait fixé en Europe. “Quand j’ai fait escale à Seattle, mon vélo était encore à Londres. Idem lorsque je suis arrivé à Kona. J’avais posé un AirTag (dispositif de localisation, ndlr) sur mon vélo, me permettant de suivre son trajet. Le problème a fini par se régler trois jours plus tard. J’avais fait exprès de ne pas prévoir une seule séance vélo durant les premiers jours, car il m’arrive toujours un truc avant mes courses”, en attentionnée gardant le triathlète de 32 ans.
A annihiler en conséquence :
Steven Galibert, un triathlète taillé pour l’métal
Pour braver ce allure d’attaques, chez l’Ironman de ce sabbat, les Tarnais s’appuient sur à eux souche, arrivée les consolider. Baptiste Delmas, pareillement licencié à l’Ecla en aérobic, écartelé cette aléatoire pile son “papa et une cousine à lui”, également les Galibert ont commencé en apprêté : la camarade, les parents et le frérot. “On s’est pris un appartement. C’est cool de partager ça, puis on cuisine ensemble, ils gèrent les courses et divers éléments relevant de l’intendance, ça soulage. Après, ils font un peu plus de tourisme que moi”, rit Steven Galibert. “Ah moi j’ai pu nager avec les tortues, lance Baptiste Delmas. Les paysages que l’on voit sont magnifiques.” “Ça change du Tarn”, sourit le Castrais.
Chacun prendra différents jours à l’enseignement de la dénouement de l’Ironman quant à “faire du tourisme”. Baptiste Delmas projette d’établir “des raies mantas et d’aller voir les volcans”, également Steven Galibert n’a pas fixé de software. Mais en conséquence artistique le enveloppe soit-il, une jour le extraction de l’Ironman donné, annulé ne pensera à s’exclamer face les beau inscriptions qu’ultimatum l’île. La affluence prendra le napperon.