Le conseiller communal a récit un épais comptabilité sur la vidéoprotection qui a “fait ses preuves” suivant le proconsul et va lors idée abondant, densifié et modernisé à trop rapide solution.
Pour cette jonction de dépense, le conseiller communal s’est focalisé d’soudain sur la tracas de la vidéoprotection. C’est le manageur de la surveillance communal, Thierry Larivière, qui a présenté le outil existant et ses résultats, non hormis représenter “l’action de la police municipale” et ses 12 000 patrouilles, pas moins de 1 600 sollicitations depuis le 1er janvier à cause 2 874 verbalisations, 700 caves en fourrières et 143 interpellations.
Thierry Larivière a en conséquence présenté le foyer de contrôle urbaine où sont centralisées les images des 77 caméras sur mât et 3 nomades. 48 images sont aussi visibles en simultanée sur les 12 écrans par les 7 agents du CSU. Des images qui sont conservées endéans 15 jours et incessamment 30 “pour répondre au temps judiciaire”. “Seules 10 personnes sont autorisées à procéder à l’extraction de ces images sur réquisition, a détaillé le directeur. Il y en a eu 69 depuis le début de l’année et 671 depuis la création de ce centre en 2010. À ce jour, nous sommes capables de voir les entrées et sorties de ville, du centre-ville à l’Arsenal et les échappatoires à ce quartier. Nous avons ensuite des équipes présentes en pédestre ou en voiture pour intervenir rapidement.” Accident, affaire pile garni, assistanat à public inconscientes, embrouillement à la dévolution, le manageur a aussi déroulé les méconnaissables interventions à cause un attente cadet à 10 minutes, survenues ceux-ci salaire.
Un outil de vidéoprotection qui a évidemment récit ses preuves et va lors idée évasé, pile le recensement de quatre opérateurs à cause le CSU. “En discussion avec le directeur et Jean-Paul Gerbet, l’adjoint, nous avons préconisé l’extension du périmètre couvert, afin d’arriver à 100 caméras, avec l’acquisition de caméras nomades nouvelle génération. Devant l’efficacité du dispositif, il y a intérêt à l’étendre, a ainsi tranché Gérard Trémège, le maire de Tarbes. Ça donnera davantage de moyens pour encore plus d’efficacité à nos équipes, dont je tiens à saluer le travail de jour et surtout de nuit pour sécuriser et apaiser la ville.”
“Pas la panacée mais…”
Une dilatation qui n’a pas suscité de débattu, comme même les élus de bête y ont entendu, non hormis exhaler différents chicane. “Nous déplorons notamment qu’en raison du désengagement de l’état, la police municipale intervienne de plus en plus en lieu et place de la police nationale, a ainsi regretté Laurent Rougé. Nous adhérons par contre à cette conception de police de proximité, au travail de prévention et de dissuasion qui est mené. Nous sommes néanmoins soucieux des conditions de travail du personnel. Pour nous, la vidéosurveillance n’est pas la panacée et doit s’accompagner d’un usage très encadré. À Tarbes, ce travail est mené de manière exemplaire et apaisé. C’est l’occasion de rappeler que contrairement à ce qui peut se dégager, Tarbes n’est pas un coupe-gorge.” Des plaidoyer corroborés par l’supplémentaire Jean-Paul Gerbet qui a mobilisé que le outil rencontrait spécialement organisé par une acte départementale présidée par la présidente du jury.