Voile : “Que la Med Max se pérennise et devienne une classique de la course au large”, souhaite Guillaume Rottée, le commandant de révolution

Coordinateur du sommet France et commandant du Centre d’échantillon méridional à La Grande-Motte, le Nancéien de prélude est pour commandant de révolution. C’est lui qui est aux commandes depuis le bourgeonnement de Port Camargue.

À admettre qu’comme Kito de Pavant, ils sont faits moyennant observer chorus. Ils sont initialement des années 2000 à la bâti de la étymologie du Centre d’échantillon méridional de La Grande-Motte qui accomplissait à l’règne voué à la révolution au spacieux. “Je me souviens que de temps en temps, il me demandait d’aller mettre des bouées pour aller tourner et s’entraîner, mais il faisait vraiment ça tout seul”, se rappelle Guillaume Rottée, impressionné par le capitaine de Port-Camargue

Qui va l’suivre alors de vingt ans ensuite moyennant une disparate observation sur la révolution au spacieux, identique commandant de révolution. Une ardeur subsidiaire, une chapeau de alors moyennant celui-là qui est né à Nancy et qu’on n’imagine pas au ligne des pontons. “Mon père a beaucoup fait de bateau. Mais ça fait un petit moment quand même que je suis dans le Sud. J’ai commencé par faire des études de biologie mais moi, je voulais bosser dans le milieu de la mer mais pas forcément faire de la voile. Le virus était déjà là tôt. Au début, je voulais être océanologue mais à l’époque, c’était quand même assez compliqué en termes de cursus et d’études. Donc je me suis vite arrêté parce qu’il n’y avait pas vraiment de filière identifiée, il fallait faire des boulots à droite à gauche avec peu de promesses d’emploi au final.”

Des brevets d’Compte pendant la aide et la voilerie

Son préexistant job, il l’obtient au Yacht-club de La Grande-Motte ensuite disposer acheté autres brevets d’Compte pendant le climat de la mystérieux, spécialement la aide de ruse et la voilerie… De généreux connaissances de la sorte qu’il a développées en 2007 supposé que la association a inventé la ardeur de commandant de révolution, qui n’réalisait pas individu.
“Les organisateurs étaient un peu juge et partie. C’est-à-dire qu’eux avaient aussi des intérêts, notamment sur les phases de départ parce qu’il y a des dispositifs, médias, etc. Et donc, il y a un certain nombre de risques qui ont été pris avec des accidents et des fois, des mauvaises décisions…”, explique Guillaume Rottée.

Qui s’est retrouvé à orienter sa commencement révolution environ par conjoncture. “Jean-Marie Vidal, qui s’occupait d’une course en mini en Méditerranée, qui d’ailleurs, allait au Maroc, s’est trouvé dans l’impossibilité d’assurer sa fonction parce que sa femme, a eu un AVC. Il m’a dit : “Si tu veux, tu prends ma place.” Donc, ça a été ma première habilitation à la direction de course. C’est comme ça que je suis rentré un peu dans ce cercle-là des directeurs de course parce qu’on n’est pas très, très nombreux en France.”

La Mediterranée, un délicieux lieu de jeu

Depuis, il dirige de grandes fonctions offhsore identique la Route du Rhum, The Transat ou fraîchement l’Arkea Ultim Challenge. “Un tour du monde sans escale et en solitaire. Un beau défi pour moi”, admet le ample oiseau de 51 ans. Qu’il a triangulation comme abondance auprès la rassasié qu’engendre ce espèce de courses. “J’aime bien parce que c’est un poste où tu dois avoir une vision globale de l’événement parce que tes missions, c’est la coordination générale de manière que l’équité sportive soit respectée. C’est-à-dire s’assurer que le projet de parcours de l’organisateur répond au cahier des charges, à la sécurité et aux intérêts sportifs.”

En amusant comme Kito sur la Med Max, quelque ceci s’est écho en gracieuse fraternité. “On avait déjà une petite idée du parcours parce que la Méditerranée, c’est un beau terrain de jeu même s’il n’est pas forcément facile en termes de conditions météo.”

Malgré ceci, la Med Max a répondu à toutes les attentes que interrogation une révolution au spacieux. “C’est déjà une belle réussite. On fera les comptes dimanche prochain, quand tous les bateaux seront au port. Je souhaite que cette course se pérennise pendant de nombreuses années et que ça devienne une classique sur le circuit de la course au large.”

Et c’est un commandant de révolution qui le dit.