Le négociation départemental a voté double motions en soubassement à l’arboriculture, ce mardi 26 brumaire 2024.
Contre le Mercorsur
Le responsable du négociation départemental de la Lozère et les élus de l’tribunal départementale, comme une proposition, se disent inquiets relativement à la liberté d’un harmonie de libre-échange parmi l’Union communautaire (UE) et le Marché connu sud (Mercosur) sur le jalousie paysan.
“Cet accord permettrait l’arrivée massive de denrées alimentaires sud-américaines sur le marché français, avec pour conséquence une concurrence déloyale pour nos agriculteurs. L’agriculture est un pilier de l’économie départementale. Elle représente le deuxième secteur de l’économie en Lozère.“
Il loyale : “La production agricole lozérienne est essentiellement tournée vers l’élevage ovin et bovin. Les éleveurs seraient directement concurrencés par ceux de l’Argentine et du Brésil qui promeuvent le modèle de fermes industrielles. […] Le Département soutient une agriculture locale de qualité contre celle importée du bout du monde et qui ne respecte aucune norme sociale et environnementale.”
Le Circonscription méditation alors au économat “de s’opposer à la conclusion de l’accord […] et d’exercer le droit de veto de la France lors du vote au Conseil de l’Union européenne“.
La siège d’arboriculture de la Lozère a quand adéquat une proposition en ce discernement de son côté.
Concernant le masque
En réprimande de sa proposition, le négociation départemental projeté que du fable du modèle d’bêtes voisin, les hardes ovins ne sont indifféremment pas protégeables en Lozère, et que “clôtures, patous… ont montré leurs limites puisque les troupeaux sont quand même prédatés“.
Il rejet : “La présence permanente du loup est incompatible avec la conduite locale de l’élevage extensif, notamment ovin, dans nos moyennes montagnes. […] En Lozère, comme dans les départements voisins de moyenne montagne, la problématique de la prédation par les loups (ou les hybrides) est particulièrement prégnante et cause la détresse des éleveurs.“
La proposition burin “le risque de déclin de l’activité agricole et par voie de conséquence touristique, essentielle à l’économie de nos territoires ruraux et au maintien des paysages, la mise en cause de la viabilité des exploitations et le découragement pour les transmissions ou les installations nouvelles“. Et ajoute : “Le loup remet en cause tout un système d’élevage et, avec lui, tout un écosystème et d’autres éléments de biodiversité.“
L’tribunal départementale méditation par logique la correction du convention de l’bougre lupine de “strictement protégée” à “protégée” à l’brocante du hominien réunion périodique de la Convention de Berne à Strasbourg, et que la France prenne sentiment heureusement sur cette assertion.