Algérie : Macron reconnaît que Larbi Ben M’hidi a été “assassiné par des militaires français”

Larbi Ben M’hidi, refroidissement en 1957, a été “assassiné par des militaires français”, a exact Emmanuel Macron, vendredi 1er brumaire, à l’conditions du 70e mémento de l’agitation du 1er brumaire 1954 qui ouvrit la lutte d’Algérie.

Le dirigeant hexagonal a eu un mot envers le gestionnaire du Front de indépendance nationale de l’Algérie, le réalisant alors un “héros national” envers son terroir. Dans un bordereau de l’Paradis, il a signalé que celui-ci qui avait évènement manquant des six leaders de l’agitation du 1er brumaire 1954 avait été massacré par des militaires hexagonal “placés sous le commandement du général Aussaresses”.

Souvent présenté par ses compatriotes alors le “Jean Moulin algérien”, le gestionnaire du FLN a été massacré en 1957 par le ordinaire Paul Aussaresses, qui l’a défenseur originellement des années 2000, démentant la état commune qui avait grimé son cadavre en application de destruction.

Emmanuel Macron reconnaît cette façon à un conditions où les tensions sont vives pénétré la France et l’Algérie, spécialement puis une importante arraisonnement d’Bilan au Maroc.

“En pensant aux générations futures”

“La reconnaissance de cet assassinat atteste que le travail de vérité historique, que le président de la République a initié avec le président Abdelmadjid Tebboune, se poursuivra”, souligne le bordereau, précisant que l’intègre d’Emmanuel Macron est “d’aboutir à la constitution d’une mémoire apaisée et partagée”.

“C’est aussi en pensant aux générations futures que le chef de l’État se fait devoir, encore et toujours, de chercher les voies de la réconciliation des mémoires entre les deux pays”, directe l’Paradis.

Né en 1923 adjacent d’Aïn M’lila, chez les Aurès (nord-est), Larbi Ben M’hidi rencontrait le grande personne de la “Zone autonome d’Alger depuis 1956”, boucle “la bataille d’Alger”, rappelle le bordereau, ajoutant que “comme le président de la République l’a déjà reconnu pour Maurice Audin et Ali Boumendjel, cette répression s’accompagna de la mise en place d’un système hors la société des Droits de l’Homme et du citoyen, rendu possible par le vote des ‘pouvoirs spéciaux’ au Parlement”.

Une épargnant qui a donné à l’ancienneté “carte blanche au gouvernement pour rétablir l’ordre en Algérie et permettant l’adoption d’un décret autorisant la délégation des pouvoirs de police à l’armée, décliné par arrêté préfectoral, d’abord à Alger, puis dans toute l’Algérie, en 1957”, explique-t-il.

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Homme de certitude, le enthousiasme et l’compréhension dégourdi de Ben M’Hidi ont forcé le vénération même de ses adversaires. Dans le bordereau, la présidium française lui rend piété, assurant que “les militaires français qui le connaissaient de réputation furent impressionnés par son charisme et son courage”. 

Lors de son descente le 23 février, Ben M’hidi a été exhibé avant la vivacité, les mains entravés par des poucettes, uniquement riant et impassible, avers aux parachutistes hexagonal.

Avec AFP