Dans une chambre d’audimètre complète à crier, Bernadette Paty, la égérie du éducateur d’série accablé par un pénitence coranique parfait, a apprivoisé vendredi 8 brumaire un image édulcorant et honorable de son gars, hormis défier devant aux huit accusés impliqués là-dedans son régicide.
Toute aérienne là-dedans l’impressionnante chambre des “grands procès” du Palais de impartialité de Paris, Bernadette Paty, en cardigan blême torsadé, carré rosé alentour du cou, a été la primitive de la lignée à s’conter.
Sur le banquise réservé à la lignée, il y a un bambin, Gabriel, 9 ans et setier, le gars de Samuel Paty. Il est joint de sa égérie, Jeanne A., l’ex-compagne du éducateur. Les un duo de sœurs de Samuel Paty, Mickaëlle et Gaëlle, soutenues par à eux proches, sont puisque accomplis, quand entiers les jours depuis l’tampon du arrêt le 4 brumaire.
Bernadette Paty, 77 ans, première pédagogue aux chevelure courts et aux fines lorgnons, évoque un Samuel Paty entiché par l’série depuis sa menue genèse.
“Samuel était un intellectuel. Ce n’était pas un croyant, mon époux et moi ne sommes pas croyants, mais il était très respectueux de toutes les religions”, détaille-t-elle.
Dans le box, les accusés suivent la déposition de la égérie de Samuel Paty plus soin, hormis accaparer le globe ni accroupir la haut.
“Je savais que Samuel allait montrer ces caricatures de Charlie Hebdo pendant un cours sur la liberté d’expression. Il était en vacances chez nous en août [2020] quand il a préparé son cours”, encourage Bernadette Paty. Ce mémoire, “complètement oublié”, dit-elle plus un agréer douloureux, ne lui est privilège qu’au période du malheur.
“Vérité et justice”
“Perdre un enfant dans de telles conditions est insupportable et inacceptable. Perdre notre fils car il a montré des dessins nous révulse. Notre vie depuis ce jour-là est devenue un grand vide”, explique Bernadette Paty.
“Ce qui lui est arrivé est tellement barbare et injuste qu’on ne pourra jamais faire notre deuil. J’attends de ce procès que la responsabilité de chaque accusé soit reconnue et que les peines soient à la hauteur”, insiste-t-elle, infiniment hormis défier.
“Moi, je suis contente d’être en retraite, car aujourd’hui, les enseignants sont contestés. Je ne comprends pas”, déplore-t-elle davantage, en décrétale à une sujet de la ribambelle. “Aujourd’hui, on conteste, on menace et on agresse.”
Des enseignants de la nominé formateur Gambetta-Carnot d’Arras où, triade ans ensuite Samuel Paty, le éducateur Dominique Bernard a été accablé par un pénitence coranique parfait Russe d’formation ingouche, sont présents là-dedans la chambre d’audimètre.
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“La blessure qu’on a reçue [le jour de la mort de Samuel Paty] est bien réelle. C’est une vision qui a modifié pour toujours notre vision de la vie”, explique Jeanne A., pédagogue quand son ex-compagnon.
“L’injustice qui est arrivée à Samuel nous oblige à avancer sur un fil”, ajoute-t-elle devant de imposer “vérité et justice”.
“Samuel n’a pas été assassiné pour avoir montré des caricatures et avoir commis un blasphème qui n’a d’ailleurs aucune valeur juridique. Samuel a été assassiné par un islamiste radicalisé en mal de jihad […] sur la base d’une campagne d’infamie sur internet menée par des islamistes réclamant ni plus ni moins [que] sa tête. C’est l’islamisme qui est en cause et non des caricatures, ni la liberté d’expression et encore moins la laïcité”, soutient Mickaëlle Paty.
“Sans vous, Samuel serait vivant aujourd’hui”
Gaëlle Paty choisit de s’envoyer abruptement aux accusés : “Lancer une cabale virulente ciblant nommément mon frère et inciter à l’action, promouvoir sur les réseaux sociaux cette cabale et encourager les passages à l’acte […] constituent des responsabilités graves”, à elles a-t-elle lancé.
“Il ne suffit pas de ne pas se salir les mains pour ne pas être responsable de la mort de mon frère”, ajoute-t-elle.
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“Jamais je n’accepterai la moindre excuse de personnes qui ne reconnaissent pas leur responsabilité. C’est totalement indécent […]. Sans vous, Samuel serait vivant aujourd’hui”, souligne Gaëlle Paty.
Dernier des huit accusés à concerner interrogé à l’réussite de la primitive semaine de arrêt, Yusuf Cinar, un accueillant de l’parricide, semble ne pas l’diligent entendue. “Je conteste les faits. Je suis innocent depuis quatre ans […]. Je n’aime pas l’étiquette qu’on me colle. Je ne suis pas terroriste”, a-t-il affirmé.
Le arrêt est patienté jusqu’au 20 décembre.
Avec AFP