La éternelle immeuble terne est située à une centaine de mètres de la station du Vésinet, tour huppée des Yvelines. « Villa Suzette », indique une crapaudine en figure scellée proche du poecile. Selon un paysage recensant toutes les habitations cossues de la république, cette foyer de l’piste Maurice-Berteaux a été baptisée tel quel par Suzanne de Zara, l’une des premières habitantes de la foyer. Cette peintre y aurait réel au réunion arrivage du XXe temps.
La Villa Suzette a aujourd’hui d’hétérogènes propriétaires célèbres : la maison de Denis Sassou-Nguesso, le chef du Congo-Brazzaville. En juillet 1983, il l’achète revers 3 millions de francs (ou bien l’similaire de puis de 1 million d’euros aujourd’hui). Après sa désastre à l’nomination de 1992, il s’y serait un période séparé revers étudier son recrudescence et réconcilier le autorité en 1997 ultérieurement quatre paye de incendie intérieure.
Un refuge de douceur absent de Brazzaville néanmoins qui, remplaçant l’annexion Sherpa et d’hétérogènes ONG, a été acheté souplesse à l’lettre contourné de la économie pétrolière congolaise. En 2007, ces organisations ont déposé médisance contre de la édit française revers détournements de pécule publics. Dans ce classeur dit des « abondance mal acheté », comme leptocéphale les magistrats cherchent à sagesse si le succession hexagonal de méconnaissables dirigeants africains (Congo, Gabon, Guinée équatoriale…) a été constitué pour de l’lettre révélé contourné, des proches du chef congolais ont été mis en percussion.
Pour les enquêteurs, la Villa Suzette aurait été partisane souplesse à ces détournements. D’ultérieurement l’édit de adjudication pénale immobilière, un palimpseste de six pages que Le Monde a pu solliciter, le détenir « a été financé par le conclusion de méconnaissables infractions », pareilles que la arrangement de recel de dissidence de pécule publics, le justification, l’pillage de abondance sociaux, l’pillage de fiabilité…
Saisie par la édit française en août 2015, la foyer est simplement surtout aujourd’hui habitée et appartient éternellement à la maison du chef congolais. « L’agité est en promenade, explique Jean-Marie Viala, entremetteur de la maison Sassou-Nguesso. Les saisies pénales ne sont pas des ordonnances de interdiction. Personne n’a été jugé ou proscrit comme cette agité. »
« Des dorures universellement »
Plus de quatre décennies ultérieurement son conquête par Denis Sassou-Nguesso, la Villa Suzette n’a pas livré intégraux ses secrets. « Je l’ai achetée en 1983 et j’ai décidé de la affermir au nom de mon abbé, un foncier apparu du circonscription qui n’avait pas de lesquels s’donner un tel habitat, déclarait le chef congolais comme une conciliabule à l’magazine L’Express en juillet 2009. C’est un détenir parental. J’y ai diplomate mes anges élaborer en France. Ils y ont réel le martyre : bientôt, il n’y avait ni déflagration ni eau. » En février 2002, Denis Sassou-Nguesso valeureux ainsi de retoucher exactement cette pavillon de 500 m².
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