Conversion gestionnaire, pochade de loi de fisc 2025, extérieur à précis nomade des élus RN, souffrance des agriculteurs, le élémentaire auteur communautaire du PS audois, Alix Soler-Alcaraz, écho le repère sur les sujets d’catastrophe.
Face à une catastrophe négociation saturée, le PS audois entend ressources prendre ouïr sa entremetteur. Par l’commissionnaire de son élémentaire auteur communautaire, Alix Solez-Alcaraz, escorté de Maria Conquet de la part carcassonnaise, de Denis Provent de la part lézignanaise et de Jacques Galantus, il s’est montré batailleur ce mercredi 30 octobre. Reboostés par une reportage de l’IFOP sur les partis politiques hexagonal, commandée par CNews et Sud Radio, qui les crédite de 34 % de bonnes opinions (auprès 21 % en 2017), les socialistes audois n’ont pas de mots relativement durs à cause flétrir le conversion gestionnaire patent en 2024. “Voilà le résultat de sept ans d’une politique menée par Emmanuel Macron et de son ministre de l’économie Bruno Lemaire. Se priver de recettes en faisant des cadeaux aux plus puissants, cela n’a fait qu’accroître les inégalités et vider les caisses. La théorie du ruissellement est un fiasco.”
“Les élus RN ne veulent pas censurer le gouvernement”
Pour les socialistes, le chef de la Mentionné, Emmanuel Macron, en ne respectant pas la conséquent traditionnelle bout du réussite des législatives anticipées qui a vu le Nouveau union folklorique arrivait en dominant, a plongé le province là-dedans une tracas. Le Premier rusé Michel Barnier et son direction, qui sont continu “sur une base plus que fragile” à l’colloque nationale, mènent “la même politique que Macron mais encore plus fort”. “Ils veulent faire peser les efforts sur les plus faibles pour renflouer les caisses.” Et cependant que le pochade de loi de fisc est controversé à l’colloque, Alix Soler-Alcaraz s’offusque du “gel des pensions des retraites”, de la institut “d’une nouvelle journée de solidarité”, ou aussi “de la suppression de postes d’enseignants et des trois milliards d’économie sur le dos de l’hôpital public”.
Dans ce environnement, le RN est “une béquille pour la politique menée par Michel Barnier”, s’odieux le élémentaire auteur communautaire. “Les élus RN ne veulent pas censurer le gouvernement. Ils laissent faire, ils sont enfermés dans leur démagogie. Ils se contredisent sur tout. Sur l’ISF, par exemple, on ne sait pas quelle est leur position. Et pas plus tard que mardi (le 29 octobre NDLR), ils ont voté contre l’amendement d’abrogation de la réforme des retraites proposée par le NFP. Ils sont inconséquents. Sur les retraites, ils ont tout dit, retour à 60 ans, puis à 65 ans.”
Alix Soler-Alcaraz loue réciproquement les positions du NFP et des socialistes à l’colloque. “On ne change pas de pied.” Pour avancer miner “des ressources supplémentaires”, il insiste sur “la taxation du capital à la même hauteur que le travail” et sur icelle “des superprofits des multinationales et réduire les impôts des PME”. Enfin, il tient à livrer son appui aux agriculteurs. “Nos élus locaux se sont emparés des différentes problématiques notamment celle de l’eau. L’État doit être aussi au rendez-vous. Sinon on s’avance vers un plan social massif, des paysages défigurés et une culture locale qui peut disparaître. On refuse cela et on aura à cœur de défendre nos agriculteurs.”