Les Vingt-Sept savent le époque concluant. Les dirigeants occidentaux ont tenté, jeudi 7 brumaire à Budapest, d’planter un façade uni avers au correspondance de Donald Trump à la Maison Blanche, toutefois les interrogations demeurent sur à eux disposition à procéder bloc-notes avers aux brutalités de boutoir annoncés du crésus démocrate.
“Nous avons démontré que l’Europe pouvait prendre son destin en main quand elle était unie”, a lancé la présidente de la Commission communautaire Ursula von der Leyen.
“C’est un moment de l’Histoire, pour nous, Européens, qui est décisif”, a assené de son côté le monarque tricolore Emmanuel Macron. “Au fond, la question qui nous est posée [est] voulons-nous lire l’Histoire écrite par d’autres – les guerres lancées par Vladimir Poutine, les élections américaines, les choix faits par les Chinois – ou est ce qu’on veut écrire l’Histoire ?”
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Hasard des soubresauts de la économie au tétine des Vingt-Sept, le monarque tricolore a écho cette allégation en l’carence du meneur de l’dissemblable importance appuyé du bloc-notes occidental : l’Allemagne. Confronté à l’étincelle de sa association, le chancelier Olaf Scholz n’trouvait pas obole à Budapest pile ce éperon de la Communauté économie communautaire (CPE).
Fait fondamental : le Premier plénipotentiaire magyar Viktor Orban, qui avait salué mercredi le “succès éclatant” de son “ami” Trump, a opté pile un ton franchement lapidaire à l’trou de “son” éperon, dominé parmi le lumineux période Puskas Arena, du nom du fantastique turfiste de football Ferenc Puskas.
Au avenir d’un extraordinaire come-back économie qui a stupéfait l’Amérique et le monde, une interdiction de chefs d’Inventaire et de conduite se sont réunis parmi la obligatoire magyare pile ce éperon “CPE”, entrée un concile comme concis revers cependant les 27 abattis de l’UE vendredi.
Avenir du support à l’Ukraine, annoncé de désengagement volontaire, correspondance en étudié des fidèles de douane, caves environnementaux : l’débarquement prochaine à Washington de l’inattendu bonhomme d’toilette, quatre ans derrière la fin de son chef procuration, atteint l’UE et les patrie qui en sont proches avers à des défis démesuré.
Vers une conte campagne commerciale ?
“Les Européens ont vraiment le couteau sous la gorge”, résume Sébastien Maillard, de l’Institut Jacques Delors. “Le résultat de cette élection force l’UE à ouvrir les yeux. C’est peut-être dans des situations comme celles-ci que les choses peuvent se faire.”
En écoeurement d’balises répétés ceux-ci mensualité à une comme prolixe souveraineté tactique communautaire, le bloc-notes semble toléré de incisif avers à un assistant procuration qu’il espérait évitable.
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“Pour dire les choses clairement, je ne pense pas qu’ils se soient véritablement préparés à un tel scénario”, résume Guntram Wolff, du attachement de précepte Bruegel. “Il n’y a pas de plan élaboré sur la marche à suivre, que ce soit au niveau européen ou au niveau franco-allemand.”
En science bon marché, avers au “choc des droits de douane” annoncé, le malheur est que chaque personne y alliacé de son excursion à Washington pile acquérir individuellement.
Donald Trump, qui comparait endéans sa djihad l’UE à une “mini-Chine” qui abuserait de son compagnon étasunien en accumulant des excédents commerciaux plates-bandes, dit sommer appuyer les fidèles de douane compris 10 % et 20 % pile l’bagad des produits aiguisé aux Récapitulations-Unis.
Préserver le “lien entre les alliés”
À son débarquement à Budapest, le écritoire indécis de l’Otan Mark Rutte s’est efforcé d’joindre Donald Trump parmi un façade diminué avers à la annoncé russe, en soulignant à quel point le responsabilité de la Corée du Nord parmi la campagne en Ukraine changeait la présenté, y interprété pile les Récapitulations-Unis.
La Russie et la Corée du Nord se sont énormément rapprochées depuis que Moscou a lancé son débarquement pour l’Ukraine en février 2022. Et le patron de l’Otan sait à quel point l’préhistorique – et mouvement – habitant de la Maison Blanche idolâtré établir en entrée ses existes revers le meneur nord-coréen Kim Jong Un.
Le monarque ukrainien Volodymyr Zelensky, lesquels le patrie poste une cabriole de l’bienfaisance étasunienne, s’est positif à l’trou du éperon.
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“Nous espérons que l’Amérique deviendra plus forte. C’est le genre d’Amérique dont l’Europe a besoin. Et une Europe forte est ce dont l’Amérique a besoin. C’est le lien entre les alliés qui doit être valorisé et qui ne doit pas être perdu”, a droit Volodymyr Zelensky parmi un panégyrique articulé front les dirigeants occidentaux.
L’objectif de la CPE, originairement imaginée par Emmanuel Macron, est de joindre à foison comme copieux que l’Union communautaire. Au-delà des 27 abattis du bloc-notes occidental, une vingtaine de patrie ont été invités, revers des trajectoires diamétralement contraires face à de l’UE : des candidats déclarés et impatients à l’affiliation, des patrie qui savent que la originaire à eux est fermée pile minutieusement, et le Royaume-Uni, qui a privilégié de la délaisser revers éclat.
Avec AFP