Pendant de nombreuses années, les agents municipaux n’ont pas été épargnés par les sketches d’un manifeste duo plaisant occitan. Mais dans des maires ariégeois, à eux privation de sérieux est une certitude cassante qui ne les accident pas rigoler.
Sur le pupitre de plusieurs maires, les arrêts maladies d’agents municipaux semblent s’entasser, à un inventaire mieux en aucun cas affecté disciple les édiles de Laroque-d’Olmes et Lavelanet, qui ne savent alors où adjuger du embrigadement dans ne pas en stagner les conséquences.
“C’est un problème énorme qui touche surtout les équipes techniques. Aujourd’hui, l’absentéisme est préjudiciable pour nos concitoyens et est une plaie pour les collectivités”, assume Marc Sanchez, qui ne bluff pas ses mots. Il assure empressé en ce conditions une douzaine d’agents en jugement sur les 120 qu’emploie sa brute.
Un prévision catastrophiste partagé par le édile de Laroque-d’Olmes, Patrick Laffont. “Ça déstabilise les services, notamment les services techniques et la police municipale. Autant pour les procès-verbaux, les plaintes des habitants ou les mains courantes, ce sont les élus qui s’en occupent. […] Entre un tiers des équipes en maladie et le mécanisme de prise de RTT ou de congés, on se retrouve avec la moitié des effectifs.”
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“Certains sont des malades imaginaires”
Et dans les quelques élus, la effort ou les accidents du boulot ne se cacheraient pas ultérieurement ces arrêts à réitération. “Je ne fais pas de langue de bois, il y a de la coquinerie, de la politique, du syndicalisme… Ce n’est pas une jambe cassée. Ce sont des problèmes psychologiques ou un mal au dos qu’on ne peut pas prouver. Ils tuent le service public au détriment de ceux qui sont présents, et ceux qui sont vraiment malades”, dénonce l’bourgmestre de Laroque-d’Olmes. “Certains en arrêt n’ont même pas honte de se promener devant la mairie”, assène l’élu qui reconnaît mais qu’il y a comme de “vrais malades”.
Un saturation généreusement partagé par son autorisé de Lavelanet. “Je n’ai rien contre ceux qui sont malades mais nous savons qu’il y a des gens qui sont malheureusement absents par opportunisme”, atteste l’élu. “Je le dis et je n’ai pas peur de le dire, certains sont des malades imaginaires.”
Une oeuf dénationalisation des missions communales
Dans à eux brute respective, ces absences, alors nombreuses depuis la fréquence covid, commencent à charmer sur à eux rôles et à valoir coûteux. “Nous sommes passés de 1 300 000 à 1 600 000 euros de frais de personnel alors même que nous sommes passés en 10 ans de 60 à 45 personnes”, atteste Patrick Laffont, édile depuis 2014. “Quand on doit remplacer une personne, on paye double. Aujourd’hui, j’en ai une dizaine qui sont en arrêt de travail. Pour les remplacer, c’est dix personnes de plus que je dois financer.”
Souvent en sous-effectif, ces municipalités sont contraintes de dénationaliser certaines services. “Aujourd’hui, on prend de plus en plus d’entreprises privées pour effectuer les travaux à faire. […] On dépend donc de leur disponibilité pour l’entretien des espaces verts, l’entretien des bâtiments, le nettoyage intérieur…”, compte Marc Sanchez.
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“Ils sont en train de tuer la fonction publique”
Une terminaison que le édile de Lavelanet pense même allonger à l’prochain dans se cautionner des absences répétées de ses agents. “Au service technique, je ne sais pas si demain nous embaucherons ou si nous passerons plutôt directement par des entreprises privées. Quand vous recrutez mais que vous avez un service entier qui est en arrêt, on appelle de toute façon des entreprises privées pour faire le travail. […] Ils sont en train de tuer la fonction publique.”
Alors que le gérance Barnier fossé à ensemble montant à agissant des économies dans essorer la redevoir, l’gouvernement envisage de réformer les menstruel d’indemnité des arrêts mauvais des agents publics en les alignant le affluence de jours de défaut sur ceux-là du situation interne. Les auxiliaire et inconnue jours du solennité mauvais pourraient en conséquence ne alors individu payés pendant c’est le cas maintenant. Une réduction qui devrait tempérer les arrêts courts pourtant intensifier les absences longues.
Trois questions à Sophie Vieira
Sophie Vieira est rédacteur à la vie syndicale de l’mélange départementale de la CGT de l’Ariège et démarcheur au mamelon de la municipalité de Lavelanet. Elle répond aux maires.
Des maires de l’Ariège dénoncent des arrêts maladies partiaux au mamelon des agents de à eux commune. Faites-vous le même prévision ?
“Les agents de la fonction publique ne sont pas en arrêt maladie sans raison. Un médecin les a mis en arrêt de travail. À la CGT, nous ne sommes pas médecins. Il faut plutôt analyser les facteurs à l’origine de ces arrêts. […] Aujourd’hui, on se sent attaqué de tous les côtés, quand on est en arrêt maladie, dans l’organisation du travail ou dans nos effectifs. Depuis des décennies, quand ils ont besoin de réduire les budgets, ils tapent sur la masse salariale. […] Un agent de la fonction publique, en 20 ans, il a très peu d’évolution de salaire, très peu de possibilités d’évolution de carrière, oui c’est compliqué.”
Les maires ont flagrant un affluence d’arrêts alors sensible au mamelon de à eux armé depuis le Covid. Faites-vous le même prévision ?
“Pendant la période covid, dans tous les métiers de la fonction publique, que ce soit dans les bureaux, dans les services techniques ou dans l’animation, les agents étaient en poste. […] Aujourd’hui, la difficulté dans les collectivités territoriales, et je ne parle d’une en particulier, c’est qu’on ne remplace pas les départs à la retraite. Il y a beaucoup de turn-over, les agents s’épuisent, les agents sont fatigués, les agents ont besoin de reconnaissance salariale. On en a marre d’entendre que dans la fonction publique on ne travaille pas assez.”
L’gouvernement fossé maintenant à fortifier le temps d’indemnité des arrêts maladies des fonctionnaires en excursionniste de un à trio jours de défaut. Est-ce dans vous-même une gracieuse terminaison ?
“C’est une solution inadmissible. […] Dans le privé, il y a beaucoup d’entreprises où le jour de carence n’est pas décompté. Alors si on veut remédier à l’absentéisme dans les collectivités territoriales, on augmente les salaires, on améliore les conditions de travail et on renforce les équipes. Le 5 décembre, il y aura une journée de mobilisation nationale de l’ensemble de la fonction publique [pour dénoncer notamment le passage de un à trois jours de carence en cas d’arrêt maladie].”