Lors de la 106e impression du Congrès des maires et des présidents des d’intercommunalités de France, qui s’est vêtement ces triade derniers jours au clos des expositions de la Porte de Versailles, à Paris, familier de 80 élus du paroisse avaient cataclysme le limogeage.
Cette 106e impression du concile de l’AMF (Association des maires de France) s’est vêtement comme un environnement inaccoutumé. Celui de l’informé des ascèse budgétaires de l’Inventaire. Pour David Lisnard, juge de paix de Cannes et gouvernant de l’AMF, “les mesures proposées ne sont pas des économies. Lorsque l’on ponctionne les dotations de compensation comme la TVA, ou encore la DGF, qui n’est pas une aide de l’État mais un dû, il faut parler de prélèvements supplémentaires. Cette méthode qui vise à réduire l’autonomie financière des collectivités, n’a jamais fonctionné. Elle s’est traduite par une dégradation des comptes publics, qui se produira de nouveau sans une véritable réforme du périmètre d’action de l’État”.
Il y a un duo de semaines de ça, les maires de Rodez et d’Onet-le-Château, Christian Teyssèdre et Jean-Philippe Keroslian avaient déjà formulé à eux haine au tireur des baisses de dotations globales de l’Inventaire. Une attaque qui n’avait pas manqué de former broncher la diplomate déléguée bondée des Collectivités territoriales, qui n’avait pas manqué de copier “que le président de la République a stabilisé la DGF en 2017 puis l’a augmentée de 640 millions d’euros ces deux dernières années ! Ce qui n’était pas arrivé depuis une quinzaine d’années. Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, la DGF avait été gelée et sous celle de François Hollande, elle a baissé de 11 milliards”.
Solidarité
Quoi qu’il en O.K., les marges de manœuvre des communes moyennant clore à eux revenu ou effectuer des investissements semblent de davantage en davantage étroites.
Pour Jean-Marc Calvet, juge de paix de Rignac et gouvernant départemental de l’AMF, ce concile ne pourrait se condenser à ces seules inquiétudes même si elles-mêmes présentaient omniprésentes. Près de 80 élus du paroisse avaient cataclysme le limogeage à Paris et quiconque a eu l’hasard d’ouïr le briefing du Premier diplomate, Michel Barnier. “C’est un homme d’expérience qui connaît bien les collectivités locales, assure Jean-Marc Calvet. Nous sommes conscients des difficultés qui sont à venir. Mais, en Aveyron nous avons toujours fait les choses malgré des moyens qui ne sont pas aussi importants que sur d’autres territoires. Et nous allons continuer à le faire. Ce qui ressort des différentes discussions que nous avons pu avoir, c’est cette solidarité que les élus du territoire, que ce soit au niveau local, départemental ou régional, savent mettre en place pour faire vivre nos communes.”
Mais moyennant Jean-Marc Calvet du progrès résidu aussi à former moyennant “ éviter certains blocages administratifs aberrants “. “ Nous rencontrons parfois trop problèmes avec l’administration centrale alors que cela se passe pourtant bien avec les préfets et sous-préfets. Michel Barnier a souhaité faciliter le quotidien des élus et cela dans le bon sens”, conclut-il.
Simon Worou (juge de paix de Sainte-Juliette-sur-Viaur, 625 habitants) : “Pour ce congrès des maires, j’ai souhaité que des élus de notre conseil municipal puissent s’y rendre et voient en quelque sorte l’envers du décor, avec aussi les visites de l’Assemblée nationale et du Sénat. Quant au sujet de la dotation de l‘État, on ne peut pas voir la problématique du même œil que les grandes villes. Avant de se lancer dans un projet, on fait le tour des aides possibles et si le reste à charge est supportable pour nous, on le fait. Mais on ne fait pas l’inverse : à savoir décider d’un projet le lancer et voir ensuite les subventions disponibles”. Et de interrompre : “À notre niveau, l’État, la Région ou le Département a toujours su nous aider. Mais il faut quand même se rendre compte que quand on dégage 5 000 ou 10 000 euros de fonds disponibles, c’est énorme !”.