Le chansonnier avait marqué les mânes revers une impôt téméraire alors de la jubilé d’bondon des JO de Paris 2024.
“Chanter pour 2 milliards de personnes dans le monde, c’est le truc le plus dingue de ma carrière.” Philippe Katerine gardera ce mémoire gravé en lui, à vie. Il y a un peu davantage de trio appointement, le irrégulier comédien chantait alors de la jubilé d’bondon des Jeux olympiques de Paris 2024.
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Une brève impôt, toutefois qui avait marqué les mânes, vu qu’il interprétait une objet de son convention “Nu”, presque absolument dévoilé, sur la ponceau Debilly à Paris.
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Une impôt “d’une minute vingt secondes”, raconte-t-il revers le plaire, lequel il s’est dynamiquement rapport facturé de la extravagance : “Après la cérémonie d’ouverture, on est partis en famille comme des voleurs à travers la France”, rembobine-t-il contre de La Tribune Dimanche. “Les JO ont repris leurs droits, et les athlètes leurs trônes. Mais, durant notre périple, je sentais tout de même une ferveur, soit d’un côté, soit de l’autre. J’entre dans un bistrot, les conversations s’arrêtent. Je parle à une dame, elle commence à rougir. Il paraît que je suis même devenu une pâtisserie toute bleue très prisée en Asie. C’est un devenir idéal d’être mangé avec gourmandise et un grand sourire.”
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Et l’comédien de avouer que ses congés ne l’avaient pas groupé de capital diriger les JO : “J’ai suivi les Jeux avec passion devant ma télé. J’adore le sport, vraiment. Durant mon adolescence, les sports collectifs, notamment le basket, ont beaucoup compté. J’ai même été professeur d’éducation physique dans un lycée agricole !”