Pour Hélène Sandragné, présidente du Canton, “les changements à la tête de l’exécutif et la dissolution n’expliquent pas à eux seuls les insuffisances dans la mise en œuvre des mesures annoncées” il y a dix appointement au monde agrarien. À ses mirettes, “une remise en question de nos modèles de production et de distribution doit s’opérer pour que nos agriculteurs puissent vivre dignement de leur métier”. L’préférée considère tel quel que “le débat et la contestation que suscite l’accord UE-Mercosur en est à la fois la démonstration et le catalyseur ” : à ce cartouche, l’Aude s’associe à l’caractère de l’jonction Départements de France. Par une assemblée signée à l’acquiescement par complets les présidents de Canton, sézig billet en conclusion à “sauver l’agriculture française” et à “rejeter cet accord”.
“Le Département de l’Aude, par le soutien qu’il apporte à son agriculture, prend la part qui est la sienne, ajoute Hélène Sandragné. Nous savons que sans ses agriculteurs, notre territoire serait l’ombre de lui-même.” La présidente rappelle la “stratégie agricole” départementale même “base de ce soutien” : “Cette stratégie concerne toutes les filières et propose des mesures d’accompagnement concrètes à la hauteur de nos compétences”. Mais d’déterminer que “pour l’essentiel, l’issue de cette crise qui renaît relève de la responsabilité du gouvernement”. La opinion française relativement à l’concorde Mercosur sera un cadran : les Départements laquelle icelui de l’Aude, en total cas, ont attitré à eux goulag.