L’cartel de France gendarmerie à Nîmes face à l’Euro en juin

L’cartel de France gendarmerie féminine se manipulé à Nîmes comme le compétition d’Europe qui ambiance position en Allemagne, en juin hominien.

Elles sont joyeuses et réunion satisfaire, à l’moment de la portrait réminiscence prématurément les arènes. En azur, les seize filles de l’cartel de France de football femelle de la gendarmerie nationale, en carmin, les joueuses de Nîmes Football Fémininin. Mais ce mercredi brune, elles-mêmes s’affronteront sur le emplacement du période Marcel-Rouvière. “Nous sommes à Nîmes pour la première fois en stage de préparation pour le championnat d’Europe”, explique Michaël Goncalves, à eux régir. Et lendemain jeudi, elles-mêmes joueront à 20 h au période Jean-Bouin. Objectif : “Intégrer deux nouvelles et tester des stratégies de jeu. Je donnerai ma liste de joueuses fin mars”, ajoute-t-il.

“Concilier travail et entraînement”

“La difficulté pour nous, c’est de concilier le travail et les entraînements réguliers”, explique Céline Chatelain, conducteur de l’cartel depuis huit ans et contrôleuse en diocèse parisienne. Dans l’cartel de France depuis 2021, “une chance incroyable”, Manon Mauguin retrouvera sur le emplacement le association de Nîmes entre dont lui-même a interminablement joué alors contentement… face à d’personne mutée à Lyon.

Pour Jean-Philippe Nahon, le chef interdépartemental de la gendarmerie nationale, débarqué déifier les joueuses, “le sport véhicule des valeurs de cohésion, de réactivité et de force qui sont aussi les nôtres. Il est aussi utile pour être efficace dans l’exercice de notre métier…”

“On fait partie des outsiders de la compétition mais on y va pour la médaille, on a des filles qui jouent en division 3”, traîneau Michaël Goncalves qui rappelle que, sur les triade précédents championnats, la France a déjà complet une paire de coup auxiliaire et une coup quatrième.