Le Coq Sportif, qui a équipé la délégation française tandis des Jeux olympiques de Paris l’été récent, a été placé en majoration juridique, a annoncé ce vendredi 22 brumaire 2024 la hutte soeur de la confrérie, Airesis.
Cette proportion est assortie d’“une période d’observation de six mois sur le principe d’une continuité d’exploitation”.
“Le Coq Sportif s’appuie sur cette procédure pour répondre aux défis auxquels la marque est confrontée, tout en voulant protéger ses 330 employés et les centaines d’emplois indirects”, indique Airesis pendant un ticket.
La confrérie, en imprévu, avait utile en octobre curer des “solutions de financement”.
Airesis, qui détient 75% du Coq Sportif, indiqué que l’équipementier avait “sollicité l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire auprès du tribunal de commerce de Paris”.
Quel rêve ?
“Cette requête a été examinée par le tribunal lors d’une audience qui a confirmé le redressement judiciaire avec période d’observation de six mois sur le principe d’une continuité d’exploitation”, ajoute le ticket.
“Cette période de redressement est aussi une opportunité pour l’entreprise de pouvoir engager et finaliser les discussions avec de nouveaux investisseurs et partenaires stratégiques afin de pérenniser son activité et de renforcer son modèle économique”, détaille la confrérie.
Airesis souligne que “l’objectif est clair : capitaliser sur le succès des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, qui a déjà démontré la capacité du Coq Sportif à se comporter comme une marque globale, tout en conservant et en valorisant les savoir-faire industriels français, véritables piliers de l’identité de la marque”.
Situation banquière
Selon ses résultats financiers du primitif semestre publiés fin septembre, le massé affichait une coulage de 18,2 millions d’euros quant à une coulage de 10,5 millions au primitif semestre 2023, et de 28,2 millions sur l’chorale de l’période trépassée.
Le Coq Sportif a par éloigné réussi en mai 2024 un crédit de 2,9 millions d’euros de la fragment du Comité d’instauration de Paris 2024, laquelle il restait au 30 septembre 150 000 euros à retourner.
Le massé avait quant à réussi un crédit de 12,5 millions d’euros en juillet de l’Etat Français.
L’entreprise est en faux en excessif discussion revers la Coalition française de rugby (FFR), qui propagande 5,3 millions d’euros d’impayés à son vénérable grossiste.