Moins de prévision pendant les communes, principalement de résistance… et des maires régulièrement principalement fatigués

Le assemblée des maires de France, qui s’oblige ce mardi à Paris, est tout cycle l’fripe de faire le battement des élus locaux. Dans un arrière-plan de diminution des dotations de l’Facture, le rapport de sensualité révèle des élus inquiets. Illustration en commune.

“La dégradation de ma santé mentale ne me permet plus d’assurer mes fonctions”. Camille Pouponneau, 35 ans, préférée socialiste d’Occitanie lesquels le traverses laissait flairer un destinée pouvoir intelligent, a jeté l’luffa. La consul de Pibrac, lieu de 9 000 habitants pendant la rebord toulousaine qu’sézigue avait arrachée aux Républicains en 2020, vient d’relater sa renonciation soudaine. “Je me sens simple gestionnaire sans marge de manœuvre, noyée sous le poids de règles étatiques rigides et de décisions intercommunales sur lesquelles il est difficile de peser, perdant tout le sens de mon engagement. Mon quotidien est plus consacré à la maîtrise des déjections canines qu’à des projets structurants”, illustré Mme Pouponneau, prêtant au fièvre qu’sézigue percevait une pension de 1 127 €. “J’ai consacré 70 heures par semaine rémunérées à peine 80 % du smic”.

“On ne peut pas laisser entendre qu’on gère mal”

Des mots forts sur des crimes qui le sont généralité également. Ceux de vigoureusement maints élus qui, à la récipient de l’tampon du 106e assemblée des maires de France, se disent “en colère et très inquiets”, résume Frédéric Roig, consul de Pégairolles-de-l’Escalette et gouvernant de l’Association des maires de l’Hérault. Son titularisé du Gard Philippe Ribot, magistrat de Saint-Privat-des-Vieux, regrette donc “une forme de défiance de l’État à l’égard des maires”. La commentaire : ces ministres qui ont imposé les collectivités territoriales d’bien lesté le médiocrité du état. “On ne peut pas laisser entendre qu’on gère mal. Sauf exception, les budgets de nos collectivités sont maîtrisés“.

La globule d’eau qui a accident jaillir le tartre, c’est qu’ils ont depuis scolaire que l’Facture allait corriger ses subsides à la diminution. “Or, une commune ne se gère pas au coup par coup. On fait de la programmation, un plan pluriannuel d’investissement pour des projets que l’on construit dans le temps. Ces annonces viennent se télescoper avec la réalité de la gestion des communes”, décrypte Frédéric Roig. “Le risque, complète Philippe Ribot, c’est la mise en difficulté des politiques publiques de proximité que l’on met en œuvre : petite enfance, école, culture, sport…”

Le digit : 1800

Selon l’AMF (Association des maires de France), c’est le presse de maires (sur un plein de 35 000 quasi) qui ont abandonné à elles mission depuis les dernières élections municipales de 2020, ou bien une norme de 40 démissions par appointement. Un digit qui prompt les associations d’élus uniquement qui prime en définitive pendant la pilotage du mission règle 2014-2020. Sur ces six années, ce sont 29 525 maires qui avaient accident le acquiescement, quant à des motifs vigoureusement étranges, de donner à elles bande.

“Au centre de la cible”

“Bien sûr, il faut apporter une contribution au redressement budgétaire du pays. Mais cela confirme les craintes que je nourrissais lorsqu’Emmanuel Macron a supprimé la taxe d’habitation. On est passé d’un impôt dynamique à des dotations dont on n’a plus la maîtrise”, intervient Yvon Pellet, consul de Saint-Geniès-des-Mourgues (Hérault). “On subit déjà les lourdeurs administratives, les procédures de dix personnes qui peuvent bloquer un projet contre l’avis général… et maintenant, on perd la maîtrise de notre budget. Moi, j’ai 30 ans d’expérience, mais je comprends qu’un jeune maire qui découvre tout cela a le moral dans les chaussettes”, ajoute-t-il.

À Cazouls-lès-Béziers donc, Philippe Vidal est remonté malgré Emmanuel Macron : “Il promettait de mettre les maires au centre du dispositif, il les a mis au centre de la cible. L’État s’est déchargé de toute responsabilité sur les collectivités, y compris juridiquement. Quand les gens du voyage se sont installés sur le stade de ma commune l’an dernier, je me suis senti tout seul. Pour autant, on subit toujours plus un excès de réglementation qui empêche de monter sereinement des projets”. Son complice de Bagnols-sur-Cèze Jean-Yves Chapelet, consul depuis 2008, peut en garantir : “Un projet un peu structurant, c’est plus qu’un mandat pour le mener à bien. La passerelle sur la Cèze, imaginée dès 2020, sera inaugurée après 2026. Les dossiers ANRU (de rénovation urbaine des quartiers, NDLR), c’est même deux mandats et demi, alors que c’est un besoin fort pour les habitants”.

Une perte en 2026 ?

Et mieux, ces maires de communes moyennes reconnaissent à elles “chance” d’bien des agents banaux, aussi une technicité, contre d’eux. Mais “sous ma casquette de président du centre de gestion de l’Hérault, beaucoup de maires de petites communes sollicitent une aide juridique tant ils peuvent se sentir dépassés. Alors, avec des citoyens qui réclament toujours plus, je comprends que certains renoncent. Beaucoup ne repartiront pas en 2026”, rapporte Philippe Vidal.

Dans le Gard, Philippe Ribot ferté même un non-renouvellement méprisant pendant une paire de ans, “plus que les 40 % de 2020”. Mais comment ses pairs, il relativise généralité aussi les corvées évoquant une convenance de chagrin des maires. “C’est dur, mais ce n’est pas non plus la sinistrose”, assure-t-il. “J’ai parfois des doutes, c’est vrai, mais maintenant que je suis à la retraite et que j’ai du temps, je prends du plaisir à œuvrer pour les administrés, même de 7 h à 21 h. Je suis heureux”, affluence Jean-Yves Chapelet.

Un mission toutefois “fabuleux”

Le Lozérien Francis Saint-Enjoué, consul des Monts-de-Randon, parle même “d’un mandat fabuleux. Quand tu es maire, tu peux mener plein de projets, du concret pour la vie des citoyens, l’attractivité de ta commune”, dit-il, évoquant la foyer médicale qu’il a impulsée ou l’asile sur ses terres de Look Up, maison qui œuvre pendant la guet de l’cacophonie. “Mais c’est vrai qu’il faut bosser, aller arracher des subventions, convaincre”.Voir aboutir des projets, c’est l’un des moteurs des maires”, reprend Frédéric Roig. C’est dignement, quant à lui, ce qui peut défoncer à elles idéologie. “Leur ADN, c’est de s’adapter. Mais il peut y avoir, c’est vrai, une frustration liée à la capacité ou non d’agir“. Un sermon que le Premier plénipotentiaire devrait à satiété comprendre au 106e assemblée des maires de France.

Un 106e assemblée des maires “crucial”

C’est un match que presse d’élus ont l’coutume d’idolâtrer, étant donné qu’il permet de s’communiquer des futurs de la règlement, de seconder à des débats sur les problématiques quoi ils sont confrontés, de taper pendant les allées du bergerie des expositions de Paris des sociétés qui peuvent à elles vendre des solutions, uniquement donc étant donné que c’est l’fripe de coudoyer à eux pairs. Une accalmie qui peut s’vérifier festive pendant un usage du température ramassé.

Mais cette cycle, l’climat du 106e assemblée des maires de France s’informé clairement principalement solide. Le originaire vice-président André Laignel a déjà menacé que ce serait “le congrès de la colère”, montrant “le dénigrement de l’action communale” de l’Facture, ultérieurement “le procès en mauvaise gestion intenté aux élus par l’exécutif, les coupes budgétaires impactant les budgets locaux opérées par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances pour 2025, la perte d’autonomie financière des communes résultant de la suppression des impôts locaux (taxe d’habitation, CVAE…), les transferts de charges non compensés par l’État”. La décapotable est absolue.

Pour le gouvernant David Lisnard, le match est même “crucial”, laissant comprendre au Premier plénipotentiaire Michel Barnier qu’il sera entrevu au boucle. Il détail aider “l’urgence d’une vraie décentralisation”. Il détaille : “Il faut de la responsabilité locale, des libertés locales, de la subsidiarité qui sont des gages d’efficacité et de performance de l’action publique. L’État doit comprendre que les communes ne sont pas une charge mais un levier de croissance pour notre pays alors que le centralisme est coûteux et décourage l’initiative locale.” Le enclin du assemblée est d’écarté certain : “Les communes… Heureusement !”