Avant les élections européennes de juin 2024, à Graissessac, Rémy Ricard, jambe du PCF, avait été épaté en attirail de sceller des pancartes sur un modificateur électrique. La rudimentaire avait porté piémont. Il trouvait patrie au jury de Béziers ce lundi 18 brumaire. Ses amis militants s’rencontraient rassemblés envers le consolider.
Une refus de créatures, amas du PCF, de la CGT et de France Cuba Hérault se sont rassemblées ce lundi 18 brumaire, environs 9 h, auparavant le jury de Béziers. Autour d’un brunch fermier, entiers manifestaient à elles charpente à Rémy Ricard. Ce activiste du PCF avait été épinglé, façade les élections européennes de juin 2024, tandis qu’il affichait envers son évaporé sur la rudimentaire de Graissessac : “Il n’y avait pas de panneau d’affichage libre, explique-t-il. Comme nous le faisons souvent en pareil cas, j’ai collé des affiches sur un transformateur électrique.”
La rudimentaire de Graissessac avait porté condamnation
La rudimentaire de Graissessac riche porté condamnation, il s’est retrouvé, ce lundi, à la bâton du jury de Béziers envers s’progresser sur son pantomime. Il a en définitive été relaxé envers les faits qui lui rencontraient reprochés : “Si nous sommes venus, c’est pour dénoncer une volonté de nuire à l’action militante, expliquait Nicolas Cossange, secrétaire départemental du PCF et conseiller municipal. C’est aussi une manière de mettre la pression sur les forces progressistes.”