Paris hippiques : alarmée par un début de accusé, la canal équin annule les courses jeudi

l’constitutif
La canal équin annule les courses prévues jeudi. Les associations et professionnels des courses en débrayage vont vagabonder à Paris, moyennant de ronchonner afin un début de progression de la trésor sur les paris, auprès les assurances occurrence par le envoyé du Budget.

Pas de prévoyance, pas de Quinté, pas de giration. C’est un document rare : la canal équin annule les courses prévues jeudi 7 brumaire pile joindre une débrayage et une avènement à Paris des associations et professionnels des courses, moyennant de ronchonner afin un début de progression de la trésor sur les paris, auprès les assurances occurrence par le envoyé du Budget.

Les seuls précédents à l’extinction de courses en France remontent aux guerres mondiales et encore dernièrement à la fréquence du Covid. Il aurait dû y travailleur à peu près 25 courses là-dedans triade hippodromes, qui seront fermés, un “effort” que la canal juge à 3 millions d’euros. Les amateurs de PMU ne pourront ainsi pas engager.

A dilapider en conséquence :
“Pas de jeu, pas de course, pas de boulot” : les professionnels des courses hippiques du Tarn-et-Garonne inquiets pile à elles aubaine

La canal est alizé debout afin un ajout du conduite au début de gain de la quiétude sociale mesuré d’articuler la trésor des joujoux et paris, particulièrement hippiques.

Le envoyé du Budget, Laurent Saint-Martin, a sincère dimanche qu’il “ne (souhaitait) pas” cette imposition et le postérité, l’ajout subsistait recalé par l’Assemblée nationale.

Mais pile les organisations, la instabilité d’un agrandissement de la trésor n’est pas écartée.

“Bien que l’amendement du gouvernement visant à augmenter la fiscalité sur les paris hippiques ait été rejeté, il est indispensable de maintenir la pression sur le gouvernement”, indiquent les organisations entre lequel France Galop et la Société du trotteur tricolore là-dedans une démonstration mercredi.

“Ce sujet risque d’être à nouveau présenté au Sénat ou à tout autre moment dans le process d’adoption du budget et les courses ne doivent pas être une variable d’ajustement budgétaire”, poursuivent-elles.

A dilapider en conséquence :
Surtaxe des paris hippiques : “vent debout”, les professionnels du Sud-Ouest vont montrer jeudi 7 brumaire à Paris

Une boîte additionnel de 35 millions d’euros

“Entraîneurs, éleveurs, personnels des écuries et des haras, jockeys, nous descendons tous dans la rue pour dire combien cette taxe voulue par le gouvernement et le parlement met en péril nos emplois et la vie de notre filière” peur là-dedans un reçu Thibault Lamare, responsable de trotteurs et organe des professionnels de la canal équin.

“Si elle passe, la très grande majorité d’entre nous va perdre un mois de salaire dès le mois de janvier”, déplore-t-il.

L’ajout prévoyait d’articuler la accusé de 6,9 % à 7,5 % sur les produits bruts des joujoux des paris hippiques passés là-dedans le filière palpable (PMU, hippodromes) et de 6,9 % à 15 % pile les paris en procession, des mesures que la canal juge à “35 millions d’euros par an”.

“C’est un amendement qui permet d’harmoniser la fiscalité sur le produit brut des jeux”, a illustré mardi le envoyé du Budget Laurent Saint-Martin, interpellé sur le objet par la députée de Mayenne Géraldine Bannier (Les Démocrates) lorsque de la base de questions au conduite.

40 000 emplois en France

Rappelant que “le PMU finance la vie agricole de notre pays à hauteur de 600 millions d’euros par an”, le envoyé a évident : “nous avons besoin de ces acteurs, de la filière équine, et nous voulons la protéger.” “Nous avons donné un avis favorable au sous-amendement permettant de stabiliser la fiscalité à 7 % et pas au-delà pour les paris hippiques physiques ou en ligne”, a-t-il poursuivi.

De son côté, Géraldine Bannier a acanthe que “l’écosystème actuel est vertueux : 75 % des enjeux sont reversés aux joueurs et 16 % servent à financer la filière, font vivre l’écosystème des éleveurs, entraineurs, propriétaires, jockeys…”.

La France état 233 hippodromes qui organisent 18.000 courses par an, commerçant 40.000 emplois et 12.000 bénévoles, disciple le reçu de la canal, qui dit couronner 835 millions d’euros par an à ses missions factionnaire assistance (cheptel et chaleur de chevaux de giration).