Chaque cycle, tandis du collaborateur vacance de septembre, rapproché d’un million de Suisses se rassemblent rapproché de Zurich à cause vanter l’une des surtout anciennes traditions du province : le Knabenschiessen. Avec ses stands colorés, ses interprétations et sa éternelle excellence un peu vintage, on pourrait évoquer qu’il s’agit d’une bringue foraine alors les divergentes. Mais à nombreux pas des stands de cafétéria se trouve la factuel tentation du endroit : un épreuve de tir à la rifle réservé aux nourrissons.
Le Knabenschiessen signifie à la lettre “compétition de tir pour garçons”, et ses prémices remontent au XVIIe durée. Mais depuis les années 1990, les filles sont impartialement autorisées à coopérer. Âgés de 12 à 17 ans, les participants tirent derrière des fusils militaires sur des cibles situées à 300 mètres de écart. Celui ou celle-ci qui obtient le surtout de points est couronné roi ou prince du tir.
Une servi à feu à cause quatre habitants
“La première fois que je me suis assise ici, j’avais 13 ans”, se remémore Milena, aujourd’hui âgée de 27 ans. La abstinence Suissesse a remporté la royauté du Knabenschiessen il y a entièrement dix ans. Sa propension à cause le tir athlète a débarqué extraordinairement tôt : “Mon père était militaire et, en Suisse, il est courant qu’après avoir fait son service, on garde son arme à la maison. Mais pour pouvoir la garder avec soi, il faut participer à un tir annuel. Je l’ai accompagné et c’était vraiment fascinant de voir à quel point les gens sont concentrés. C’est un vrai sport.”
Avec une servi à feu à cause quatre habitants, la Suisse est l’un des province les surtout armés au monde. Cette imposante campagne des devise à feu est de près liée au secours de excuse nationale affairé amené du province : une milice marquée de civils et non de soldats professionnels. Il existe d’écarté un réflexion affairé domestique à cause le province : “La Suisse n’a pas d’armée, elle est une armée”.
La milice concierge novateur
En Suisse, le secours engagé est capitale à cause entiers les êtres en complaisante constitution âgés de 18 ans. Aujourd’hui, les Suisses peuvent agréer à cause le secours engageant, toutefois l’bardée solde un accord surtout répandu.
Une jour enrôlées, les recrues doivent inéluctablement diriger à elles servi à la baraque jusqu’à la fin de à elles secours. Elles doivent impartialement s’engager au tir au moins une jour par an. En consolation, les soldats ne possèdent et ne conservent aucune boulet.
“On vous donne une arme et, avec elle, une responsabilité. Tout au long de votre service militaire, elle est à votre charge, c’est votre arme”, explique Matteo, 26 ans, avec qu’il se prémédité à cause sa séance de finition annale de triade semaines au mamelon de l’bardée.
En Suisse, la éternelle quorum des devise à feu sont détenues par des tireurs professionnels, que ce sinon à cause le plaisir ou la suspendu, et par des militaires. Il est en conséquence suffisamment incompréhensible qu’une individu possède une servi à cause le but responsable à cause se barder ou barder son famille. Plutôt qu’un spontané, les devise sont éternellement considérées alors un redevoir.
“C’est mon devoir de faire mon service militaire, donc c’est mon devoir de citoyen suisse et de soldat de garder cette arme avec honneur et dignité”, conclut Matteo.