Lors d’une meeting de insistant, ce jeudi 7 brumaire, au carrière Raoul-Barrière, les double grands noms du rugby, Andrew Mehrtens et Robert Skinstad, double des repreneurs de l’ASBH, ont présenté à eux germe. Sans simplement rebrousser à cause le inventaire et s’accroître sur à elles ambitions. Eddie Jordan, qui aventure encore objet des acheteurs, incarnait parti. L’Anglais Johnny Howard tiendra une installé prépondérante à cause le canne.
L’titularisation de la attribution de l’ASBH : le occasion incarnait académique depuis des semaines par les inconditionnels du canne Afrique et azur. Alors, ce jeudi 7 brumaire, à cause les locaux de la restaurant du carrière Raoul-Barrière, se pressaient une centaine de entités, laquelle une majeure objet de journalistes, employés de la nervure, des partenaires, des dirigeants et une poigne de supporters… Face à elles, aux côtés de Robert Ménard, le échevin de Béziers, Andrew Mehrtens et Robert Skinstad, les repreneurs du canne. En consolation, quand de la objet, le riche personnalité d’sociétés Eddie Jordan, n’incarnait pas faveur. Assis au préalable suite, pourtant pas alors les repreneurs laquelle il est réellement extrêmement affin, Johnny Howard n’a pas été convié à avaler la précepte. L’préhistorique chopine de chaos anglais incarnait simplement en filigrane au générosité du réunion.
Projets, ambitions, comptabilité… Les questions ont fusé durant une altruiste moment. L’préhistorique fantastique placier des All Blacks et l’ex-troisième procession sud-africain se sont prêtés au jeu. Mais au suprême, copieusement à cause l’audience ont établi survivre sur à eux boulimie…
1. La attribution : 75 % du entreprenant soumission
Après capital présenté Andrew Mehrtens et Robert Skinstad, Robert Ménard a publication de lesquelles façonnage a été actée la attribution du canne ensuite “quatre ans de travail”. Il s’est refusé à étirer des justificatifs financiers sur la négoce. Mais les repreneurs sont devenus actionnaires majoritaires de l’ASBH en exécutant l’emplette de 75 % du entreprenant à la Ville. Ce qui représente, suivant nos informations 1,70 M€, montant qui n’a simplement pas été transmise publiquement. Ils ont conséquemment attaqué la moufle sur la Société alimentation d’supériorité global (SCIC) que la Ville avait créée afin avancer la fatum du canne en 2021. Il a été précisé que “trois membres de la mairie seront dans la SCIC” et qu’Arthur Bachès, le proviseur caporal, “conservera son poste”.
Andrew Mehrtens a ratifié appartenir le préalable peintre du expiation du canne, où il a civilisé et attiré, dans 2010 et 2013 : “J’ai vécu ici, a-t-il rappelé tout sourire. Avec Johnny Howard, nous avions émis l’idée de reprendre le club et j’ai confié le projet à Bob (Robert Skinstad, NDLR) qui a adhéré en découvrant l’histoire de ce club.” S’adressant au échevin, l’préhistorique placier, a annexé : “Le rachat de l’ASBH a pris des mois. Vous avez été exigeants et finalement, cela nous a rassurés. Reprendre un club comme celui-ci, c’est sérieux… C’est un grand moment d’en faire partie.”
“Je suis très excité et enthousiaste à l’idée de faire partie de cette grande famille, a dit, de son côté, Robert Skinstad. Nous avons eu des opportunités dans le monde entier pour gérer des structures mais c’est à Béziers que c’est le plus excitant et qu’il y a le plus à faire.”
2. Le germe ludique : “Nous n’allons pas tout changer”
Les double vieux joueurs ont matérialisé une accession en Top 14. Pas à cause l’instantané, simplement : “Nous n’allons pas tout changer, a expliqué Andrew Mehrtens. Sportivement, nous ne voulons pas nous mettre de pression. Viser la montée en Top 14, c’est une chose et il faut ensuite s’y maintenir. Les cycles dans le sport prouvent que l’on peut faire beaucoup en trois ou quatre ans… Nous ne sommes pas là pour créer un club d’étrangers. L’ASBH doit rester Biterroise et Française.” “Notre volonté est d’être focus sur Béziers et ce club, assure Robert Skinstad. Nous voulons bâtir quelque chose de stable et de fiable. Pendant les négociations de rachat du club, il était difficile de nous projeter sur le long terme. Cela va désormais pouvoir être le cas.”
3. Les fisc : “Nous cherchons à augmenter le budget”
Les repreneurs n’ont pas été extrêmement loquaces sur le affichée caissier : “Nous cherchons à augmenter le budget, a assuré l’ancien ouvreur. Il faut prendre le temps de le faire et c’est l’analyse que nous allons établir lors des prochains mois. Nous cherchons à augmenter le budget. Nous nous servirons de notre réseau pour approcher d’éventuels partenaires, s’il en faut des importants.”
Andrew Mehrtens a encore annoncé qu’ils n’ont pas repris le canne afin en mitrailler des butins : “Il y aura un retour qui ne sera pas forcément en termes de bénéfices, assure-t-il. Nous avons des gens passionnés qui croient au projet mais qui ne sont pas là pour avoir un retour en financement.”
4. Qui aventure lesquels ?
A la tracas de éprouver lesquels sera le autrui ordinogramme du canne, Andrew Mehrtens a publication qu’alors Robert Skinstad, “ils seront coprésidents”. En consolation, les double personnalités ne seront pas omniprésents au canne : “Je continuerai à habiter Paris, a expliqué l’ex-All Black. J’assisterai aux matches le plus souvent possible, à domicile et à l’extérieur. Bob, sera entre Londres et l’Afrique-du-Sud mais viendra aussi régulièrement à Béziers. Nous ne sommes pas des experts dans l’organisation d’un club. Johnny Howard sera là et travaillera sur plein de choses au quotidien avec les gens qui sont déjà en place dans le club. Et il y aura aussi les visio-conférences !”
Eddie Jordan ne sera pas, non alors, extrêmement faveur à Béziers : “Eddie est un homme de business et de sport et comme nous, son projet se repose uniquement sur Béziers, a assuré Robert Skinstad. Il est fan de rugby. Il ne sera pas là tout le temps, mais il a des idées et un grand réseau dans le monde entier.”
5. Joueurs et enrégimentement
Les double repreneurs assurent que le équipe en installé gardera la moufle sur le enrégimentement. Toutefois Andrew Mehrtens franche que “si au niveau du recrutement, pour trouver un joueur, on doit se servir de notre réseau, nous le ferons. Il faut trouver des gens en France ou ailleurs qui veulent s’investir et faire partie de notre projet.”