La confédération gardoise du Parti socialiste organise une conférence-débat cordiale à entiers sur le interprétation : “Résister à l’extrême droite” le 28 brumaire comme la arrondissement du Pin.
“Résister à l’extrême droite”, voici le interprétation de la conférence-débat agencée le jeudi 28 brumaire par la confédération gardoise du Parti socialiste comme la arrondissement du Pin (à 18 h 30, pièce des fêtes). “On a choisi Le Pin car la montée de l’extrême droite est un fait politique dans les zones rurales et périurbaines” explique Pierre Jaumain, initial rédacteur confédéral du Parti socialiste comme le Gard. “J’ai grandi à Beaucaire (ville dirigée par le Rassemblent National, ndlr) et j’ai vu l’émergence de ce phénomène. Il y a une contagion de l’extrême droite dans la vallée du Rhône”.
“J’ai mis en place une commission de lutte contre l’extrême droite en 2023 alors qu’il n’y avait “que” quatre députés RN dans le Gard. Aujourd’hui, ils sont six…” rappelle-t-il. “Cette commission a pour vocation d’analyser ce fait politique. On a un travail de veille. On veut montrer que le discours du RN est en décalage avec ce qu’il vote à l’Assemblée nationale.”
“Le PS n’est plus audible”
Pour mouvoir le séance, le initial confédéral socialiste a invité le coursier PS de l’Eure et vice-président de la certificat des fiscalité, Philippe Brun, qu’il a rencontré lorsque de l’école d’été de à eux défaillant à Blois. “Il fait un gros travail dans sa circonscription. Il dialogue avec la population. L’objectif de cette rencontre, c’est que Philippe Brun partage son expérience. Il ne faut plus être sur des postures morales, mais dans un dialogue permanent avec les électeurs”. Pierre Jaumain en est décidé, “il faut parler des problèmes que rencontrent les gens, aborder les sujets frontalement. Le PS n’est plus audible. Il y a un décalage entre le travail de nos élus et la perception qu’en ont les gens”.
Pour le initial confédéral, cette rencontre-débat au Pin sera “un moment fondateur de la nouvelle manière d’aborder les sujets. C’est un moment important pour nous. Il y a un tournant à prendre.” Ce soir-là, “le public pourra aborder les problématiques locales : déserts médicaux, mobilité… La population en zone rurale a un sentiment de déclassement. Je fais le parallèle avec ce qui se passe aux États-Unis, Trump a été élu avec les voix de la classe ouvrière. On doit affronter la réalité”.