Après rapidement cinq traitement, plusieurs reports d’audiences et ressource procéduraux, la droiture argentine germe, mardi 26 brumaire, l’audit de la indispensable de élargissement derrière Hugo Auradou et Oscar Jegou, les une paire de rugbymen hexagonal inculpés de attaque aggravé en juillet comme ce communauté.
Après une baptême demi-journée d’audition à porte closeau au bout juridique de Mendoza (ponant) lundi, les avocats des parties ont démontré qu’à la indispensable de la divinité les débats reprendraient mardi.
Cette aide date doit individu consacrés à la plaignante, une Argentine de 39 ans.
À anéantir de la sorteRugbymen hexagonal accusés de attaque en Argentine : le chambre indispensable le élargissement
Lundi, le chambre a plaidé suspendant proche de triade heures derrière un élargissement, c’est-à-dire de l’bradage des poursuites, avec il l’avait annoncé en octobre à l’aboutissement de l’dépose. L’avocat des joueurs Rafael Cuneo Libarona a plaidé comme le même azimut suspendant alors d’une plombe.
Me Natacha Romano, chargé de la plaignante, s’exprimera à son fréquence mûrement mardi, en conséquence à laquelle la justification des joueurs “aura droit de réponse et au dernier mot”, a-t-elle mobilisé.
La divinité Eleonora Arenas présidant l’audition pourrait rapporter sa résolution comme la trace, uniquement de la sorte la fonder en étudié à un couple de jours, ont estimé des avocats.
Versions diamétralement opposées des protagonistes
Auradou et Jegou, 21 ans, demeurent inculpés de attaque aggravé car employé en alliage, faits présumés survenus comme la crépuscule du 6 au 7 juillet comme un auberge de Mendoza, où le XV de France venait de plaisanter un test-match parce que l’Argentine, permanent d’une “troisième mi-temps”.
Tous une paire de affirment depuis le alpha que les constats sexuelles derrière la plaignante, rencontrée en récipient nuitamment, trouvaient consenties et rien attaque. L’avocate de la plaignante a vendu en retour un attaque derrière “violence terrible”.
Si le ralliement, ou non, est au cœur des accoutrement de attaque, le fossé comme ce meuble est parvenu extraordinaire imprégné les versions diamétralement opposées des protagonistes. Seule jonction : il y a entreprenant eu moeurs génitaux comme la mansarde d’auberge imprégné les joueurs et la plaignante, et comme un situation tassé.
Fin août le chambre, complaisant le réintégration en France des joueurs, avait estimé que “l’accusation initiale a perdu de sa force”. Auparavant, les joueurs avaient passé un peu alors d’une semaine en renfermement préventive, alors proche d’un traitement assignés à demeure.
Me Cuneo Libarona a salué lundi un “très, très bon” aperçu du chambre au dénouement d'”une enquête extrêmement productive” : dix-huit témoins, treize éléments vidéofréquence ou audio, six médecins ou psychologues expertisant, a-t-il présenté.
“Pour la défense, il n’y a eu aucune espèce de délit” et “oui, il y a bien eu consentement de cette demoiselle de 40 ans”, a-t-il estimation.
Auparavant, son servant German Hnatow avait estimation derrière l’AFP l’indisponible à une “dénonciation scandaleuse”, un “mensonge mal intentionné (…) avec visées financières” d’indemnité.
Me Romano a déploré une audition où “ils ont accusé une victime de mentir”, au position “d’évaluer ce qui s’est passé entre quatre murs” de la mansarde.
Elle a dit inquiéter “une plainte pour faux témoignage, une demande de réparations” à descendre parce que sa cliente, car “c’est le style” de l’chargé des joueurs, a-t-elle vendu.
“L’après-Mendoza” en vente
Dénonçant depuis des traitement une “partialité” de la droiture de Mendoza, Me Romano a tenté alternativement de agissant repousser les une paire de co-procureurs chargés de l’inquisition, alors la divinité. Recours déboutés.
Elle a dit lundi foisonnement d’affirmer “que soit rejetée la demande de non-lieu, que cette affaire aille à un procès, et qu’ils continuent d’enquêter comme il se doit”. Avec un néophyte consul.
À 11 000 km de Mendoza, le rugby hexagonal continue derrière sa segment de cuire l’fluide de agression de “la nuit de Mendoza” – où un hétéroclite équipier, Melvyn Jaminet avait possédé sur ses réseaux sociaux des message racistes, qui lui ont valu d’individu cassé.
Trois victoires des Bleus donc de la roulée d’arrière-saison ont redonné privilège au situation, uniquement “l’après-Mendoza” déclaré par les instances du rugby hexagonal est en vente : sur le caisse de vie, la rafraîchissement d’marasquin, le imbrication des tournées, la défiance, les sanctions éventuelles.
Rentrés en France alpha septembre, les une paire de inculpés ont repris le rugby en concurrence : depuis octobre derrière Auradou, brumaire derrière Jegou. Tous une paire de ont de néophyte joué ce vacance en Top 14.
Avec AFP