C’est du en aucun cas vu parmi l’écho du PMU : ce jeudi 7 brumaire sera date passée, rien courses de chevaux ni paris hippiques sur l’association du division métropolitain. La drille messager proteste grâce à le germe du pouvoir de surtaxer les paris comme solder le compte de la Ordre sociale. Plusieurs milliers de entités vont montrer à Paris, pénétré Denfert-Rochereau et les Invalides. Parmi eux, des professionnels du Sud-Ouest qui partiront passionnément tôt jeudi cerbère, en bus ou autobus, de Fronton, Beaumont-de-Lomagne, Aire-sur-Adour ou aussi Langon.
“Je ne sais pas qui est l’intellectuel qui a pondu cette surtaxe sur les paris mais, pour faire de l’humour, il doit penser avec ses pieds celui-là.” Bruno Muel, dirigeant du commission local de allure, interprète la ressentiment et l’ignorance de la drille messager quoi le pouvoir souhaite frapper une gabelle accidentel, estimée pénétré 30 et 35 millions d’euros, comme solder le compte de la Ordre sociale. Même si l’addition contesté à l’Assemblée nationale a été chassé, très plus d’distant l’association du germe de loi de commandite de la Ordre sociale, le dissertation va brusquement au Conseil… et in spiritueux, le pouvoir peut le former décider toilettes au illustre paragraphe 49.3.
Une décape connu est prévue ce jeudi 7 brumaire 2024 à Paris… connu étant donné qu’aucune association de allure ou de galopade ne sera agencée en France. “J’ai commencé ma carrière en 1980 et je ne me souviens pas d’une journée sans courses. Jeudi, l’État va perdre 2 millions d’euros. Ils sont vraiment en train de couper la branche sur laquelle ils sont assis”, constate, dépité, le driver de Solomiac (Gers) qui entraîne ses trotteurs à 12 km de là, sur l’cirque de Borde-Vieille à Beaumont-de-Lomagne (Tarn-et-Garonne).
La drille équine, qui pèse 40 000 emplois en France, veut se former percevoir. Elle organise une cortège à Paris, jeudi 7 brumaire, pénétré la apprêté Denfert-Rochereau et les Invalides où elle-même espère appareiller 10 000 entités. Bruno Muel sera parmi le cavalcade en sa mérite équitablement de vice-président ressortissant du fédération des entraîneurs, drivers et jockeys (SEDJ) et comme remémorer “la plus grande fédération de courses de France”, celle-ci du Sud-Ouest, qui va de Carcassonne à la Charente.
Derrière nos affaires qui ont déjà du mal à caresser à eux vie, il y a les maréchaux-ferrants, les vétérinaires et très le monde rural qui impute les écuries et les hippodromes en section lauréate.
“Même si on est la fédération la plus éloignée géographiquement de Paris, on devrait être plus de 150. Un déplacement en bus ou en minibus est organisé au départ d’Aire-sur-Adour, Beaumont-de-Lomagne, Fronton, Châtelaillon et Langon. Je sais que d’autres personnes partent par leurs propres moyens, en voiture ou en TGV”, indique Gérard Cazeneuve, dirigeant de la ligue des courses du Sud-Ouest. Le Beaumontois célébrité cette proclamation “légitime”. “Le gouvernement Barnier a bien dit qu’il ne toucherait pas aux revenus des agriculteurs. Or, tous les acteurs de la filière équine relèvent du régime agricole. Nous taxer de 38 millions d’euros supplémentaires, cela équivaudrait à baisser de 7 % les allocations. Une course disputée à Beaumont ou à Castelsarrasin, dotée de 20 000 euros, verrait son allocation baisser à 18 500 €”, racheté Gérard Cazeneuve.
Un entraînement navrant ?
“Derrière nos entreprises qui ont déjà du mal à gagner leur vie, il y a les maréchaux-ferrants, les vétérinaires et tout le monde agricole qui fournit les écuries et les hippodromes en matière première. Tous vont être injustement impactés. Les centres équestres profitent aussi de ce phénomène de ruissellement. On a une filière autonome, qui ne demande rien à personne, qui s’autofinance et finance l’État et on veut retaxer du net ?”, s’interroge Bruno Muel, rappelant que “ce qui est extrait des résultats du PMU, c’est du net après la TVA et les taxes prélevées par l’État”.
Aujourd’hui, sur 10 milliards d’euros de paris hippiques enregistrés en France, l’Balance en ponctionne 7,5 à 8 %. “Cela lui laisse 950 millions d’euros par an.”
Le conciliabule des équidés d’Occitanie, par la avis de son dirigeant Mathieu Albert, “soutient pleinement cette manifestation”. “Les retombées économiques des courses profitent à toute la filière, font vivre des centres équestres, des clubs de sport et de loisirs. Et surtout, quand il s’agit de chevaux, il y a des frais incompressibles”, cataclysme équivaloir l’élu de Saint-Nauphary.
Tous iceux qui marcheront montrer jeudi à Paris en sont convaincus. “C’est vers un engrenage fatal que cette mesure entraîne la filière : moins de chevaux, moins de partants en course, moins d’enjeux, moins de ressources pour les acteurs, réduisant à nouveau leur effectif… et au final un effondrement rapide de la fiscalité bénéficiant à l’État, des emplois supprimés et des retombées perdues dans les territoires”. Et de mentionner l’étalon de l’Italie où la drille transalpine “qui était dynamique et reconnue internationalement, s’est effondrée en 15 ans”.
“Aujourd’hui en France, on a les meilleurs trotteurs de la planète. C’est ça qu’ils veulent tuer ?”, se question Bruno Muel. “La jeune génération est plutôt douée et dévouée à son métier. Alors, on veut leur léguer quelque chose de propre.”